Divorceinstitutionnel qui fit de la France la premiÚre nation laïque au monde: «Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.» Un détournement de
Depuis que je suis enfant je "sais', sans bien sur, pouvoir prouver quoi que ce soit que la mort n'existe vous ressortirai bien ce qu'on dit sur le sujet, comme par exemple que nos corps ne sont que des vĂ©hicules pour nos Ăąmes et qu'ils meurent une fois que nous avons accompli le "programme' que nous nous Ă©tions fixĂ© avant notre eu plusieurs expĂ©riences suite Ă des dĂ©cĂšs de proches qui n'ont fait que me conforter dans cette conviction, idem pour les livres. Au moins puis je me dire que je ne suis pas la seule "cinglĂ©e' ayant cette certitude car c'est bien ainsi que je le fait de croire que notre vie sur terre n'est qu'un passage, un peu comme une grande salle de classe ou l'on vient apprendre, comprendre et Ă©voluer, donne une toute autre perception de la vie et des Ă©preuves qui s'y rattachent. Mais cela donne aussi beaucoup plus de sens et amĂšne Ă rĂ©flĂ©chir diffĂ©remment, en effet ce que nous faisons n'est pas sans consĂ©quence, ni pour autrui, ni pour nous, aussi vivre ainsi amĂšne a une plus grande conscience de l'autre. Ainsi pour moi la mort sera le moment ou je pourrai rentrer chez moi... Elle devient juste un nouveau voyage et non ce gouffre oĂč l'on cesse d'exister Ă jamais... rien n'est terminĂ©, tout continueLucifersignifie porteur de LumiĂšre. Câest diffĂ©rent de Satan. Dans notre sommeil, ou en sortie astrale, on peut ne pas frĂ©quenter les endroits les plus sains, les plus paisibles. Câest possible. Il peut aussi y avoir des ĂȘtres malveillants chez soi. La sauge blanche peut nettoyer les lieux et les corps. Bon courage.
Pourquoi le pĂ©chĂ© et la mort ? Supposez que quelquâun sâapproche de vous pour vous dire âVous, les chrĂ©tiens, vous dites que nous avons besoin de JĂ©sus-Christ et que nous devons confesser nos pĂ©chĂ©s. Mais, quâest-ce que le pĂ©chĂ©? Au fait, pourquoi avons-nous besoin de Christ ? De toute façon, Dieu ne peut pas ĂȘtre ce quâIl dit ĂȘtre. SâIl est un Dieu dâamour, comme vous le dites, pourquoi permet-Il la mort et toute la souffrance dans le monde ?â LâEvangile, le pĂ©chĂ© et la mort Quel est le message de lâEvangile? Lorsque Dieu crĂ©a lâhomme, Il le fit parfait. Il a créé les deux premiers ĂȘtres humains, Adam et Eve, et les a placĂ©s dans le jardin dâEden oĂč ils jouissaient dâune belle relation privilĂ©giĂ©e avec Dieu. LorsquâIl les a créés, Il les a placĂ©s devant un choix. Il voulait leur amour, non par une rĂ©ponse programmĂ©e mais par un acte raisonnĂ©. Le premier couple a choisi de se rebeller contre Dieu. Cette rĂ©bellion est appelĂ©e le pĂ©chĂ©. Tout pĂ©chĂ© se place sous la banniĂšre de la rĂ©bellion contre Dieu et Sa volontĂ©. Cette rĂ©bellion en Eden a eu plusieurs consĂ©quences. Dâabord, lâhomme sâest Ă©loignĂ© de Dieu. Cette sĂ©paration est appelĂ©e la mort spirituelle. Lâeffet de cette mort spirituelle Ă©tait de vivre pour toujours dans son corps de pĂ©chĂ©, sĂ©parĂ© Ă©ternellement d'avec Dieu. Imaginez vivre avec Hitler et Staline pour toujours! Imaginez vivre dans un Ă©tat de pĂ©chĂ© incorrigible pour lâĂ©ternitĂ©. Mais il y a eu un autre effet. Romains 5 12 nous dit â . . . par un seul homme le pĂ©chĂ© est entrĂ© dans le monde, et par le pĂ©chĂ© la mort . . . â. Il ne sâagit pas seulement de la mort spirituelle, comme certains thĂ©ologiens aiment Ă le dire, mais aussi de la mort physique. Pour confirmer ceci, il suffit de lire I Corinthiens 15 20, oĂč Paul parle de la mort physique du premier Adam et de la mort physique de Christ, le dernier Adam. Lisez GenĂšse 3, oĂč Dieu a renvoyĂ© Adam et Eve du jardin, les empĂȘchant de manger de lâArbre de la Vie, pour quâils ne vivent pas Ă©ternellement. La mort physique, aussi bien que la mort spirituelle, sont le rĂ©sultat de leur pĂ©chĂ©. Pourquoi Dieu a-t-Il envoyĂ© la mort ? ConsidĂ©rons attentivement trois aspects de la mort. Dieu, en tant que Juge juste, ne peut regarder le pĂ©chĂ©. A cause de Sa nature mĂȘme et de lâavertissement quâIl a donnĂ© Ă Adam, Dieu devait juger le pĂ©chĂ©. Il avait averti Adam que, par rapport Ă lâarbre de la connaissance du bien et du mal, â . . . le jour oĂč tu en mangeras tu mourrasâ. La malĂ©diction de la mort, qui fut placĂ©e sur le monde, Ă©tait et demeure un jugement juste et appropriĂ© de la part de Dieu qui est le Juge. Un des aspects de la rĂ©bellion de lâhomme a Ă©tĂ© la sĂ©paration dâavec Dieu. Ceux qui perdent un ĂȘtre cher par la mort connaissent la tristesse de la sĂ©paration. La tristesse, suite au dĂ©cĂšs dâun bien-aimĂ©, devrait nous rappeler les terribles consĂ©quences du pĂ©chĂ© qui a sĂ©parĂ© Adam de la relation parfaite quâil avait avec Dieu. Cette sĂ©paration a englobĂ© toute lâhumanitĂ© car Adam a pĂ©chĂ© en tant que reprĂ©sentant de tous. Un autre aspect de cette question, qui Ă©chappe Ă tant de gens, est que Dieu envoya la mort parce quâIl nous aimait. Dieu est amour et, aussi Ă©trange que cela puisse paraĂźtre, nous devrions Le louer pour la malĂ©diction quâIl a placĂ©e sur nous. Ce nâĂ©tait pas la volontĂ© de Dieu que lâhumanitĂ© sâĂ©loignĂąt de Lui pour lâĂ©ternitĂ©. Imaginez vivre dans un Ă©tat de pĂ©chĂ© pour lâĂ©ternitĂ©, sĂ©parĂ© de Dieu. Mais Il nous a trop aimĂ©s pour cela et Il a fait une chose merveilleuse. En plaçant sur nous la malĂ©diction de la mort physique, Il a pourvu Ă un moyen de racheter lâhomme pour Lui-mĂȘme. En la personne de JĂ©sus Christ, Il a souffert cette malĂ©diction sur la croix pour nous. âIl souffrĂźt la mort pour tousâ HĂ©breux 29. En devenant Lui-mĂȘme le sacrifice parfait pour notre pĂ©chĂ© de rĂ©bellion, Il a vaincu la mort. Il a pris la pĂ©nalitĂ© que nous mĂ©ritions de la part dâun juste Juge et lâa portĂ©e en Son propre corps sur la croix. Tous ceux qui croient en JĂ©sus-Christ comme Seigneur et Sauveur sont reçus par Dieu pour vivre lâĂ©ternitĂ© avec Lui. Nâest-ce pas un merveilleux message ? Câest le message du christianisme. Lâhomme a perdu sa position privilĂ©giĂ©e Ă cause du pĂ©chĂ©, avec le rĂ©sultat que Dieu a placĂ© sur lui la malĂ©diction de la mort afin quâil puisse ĂȘtre rachetĂ© pour Dieu. Quel acte merveilleux fut accompli par Dieu! Chaque fois que nous prenons le repas du Seigneur, nous nous souvenons de la mort de Christ et de lâhorreur du pĂ©chĂ©. Chaque jour du Seigneur Dimanche nous nous rĂ©jouissons de la rĂ©surrection de Christ et de Sa victoire sur le pĂ©chĂ© et la mort. Mais la thĂ©orie de lâĂ©volution dĂ©truit la base mĂȘme de ce message dâamour. Le processus Ă©volutionniste est supposĂ© ĂȘtre celui de la lutte et de la mort, de la cruautĂ©, de la brutalitĂ© sans pitiĂ©. Câest lâhorrible lutte pour la survie, lâĂ©limination des faibles et des handicapĂ©s. VoilĂ ce qui sous-tend lâĂ©volution la mort, lâeffusion du sang et la lutte pour amener lâhomme Ă lâexistence. Câest la mort depuis des millions dâannĂ©es. Câest une progression lente vers une apogĂ©e lâexistence de lâhomme. Mais que dit la Bible en Romains 5 12? Lâacte de lâhomme lâa amenĂ© au pĂ©chĂ©, ce qui a provoquĂ© la mort. La Bible nous dit que sans effusion de sang, il nây a point de pardon pour le pĂ©chĂ© HĂ©breux 9 22. Dieu a instituĂ© la mort et lâeffusion du sang pour que lâhomme puisse ĂȘtre rachetĂ©. Si la mort et lâeffusion du sang avaient existĂ© avant le pĂ©chĂ© dâAdam, la base de lâexpiation eĂ»t Ă©tĂ© dĂ©truite. Les Ă©volutionnistes diraient que la lutte et la mort ont rendu possible lâexistence de lâhomme. La Bible dit que les actes de rĂ©bellion de lâhomme ont amenĂ© sa mort. Ces affirmations ne peuvent pas toutes deux ĂȘtre vraies. Lâune contredit lâautre; elles sont diamĂ©tralement opposĂ©es. Câest pourquoi ceux qui font le compromis dâadhĂ©rer simultanĂ©ment aux deux positions les Ă©volutionnistes thĂ©istes sont en train de dĂ©truire la base de lâEvangile. Si la vie sâest formĂ©e en une progression vers le haut, comment lâhomme est-il tombĂ© vers le haut ? Quâest-ce que le pĂ©chĂ© ? Le pĂ©chĂ© serait alors une caractĂ©ristique animale hĂ©ritĂ©e et non ce qui a rĂ©sultĂ© de la chute de lâhomme par dĂ©sobĂ©issance. Tous les chrĂ©tiens qui acceptent la croyance en lâĂ©volution, y ajoutant Dieu, dĂ©truisent le fondement mĂȘme du message Ă©vangĂ©lique quâils professent. Dans une Ă©glise, un monsieur sâest approchĂ© de moi pour insister sur le fait quâun chrĂ©tien pouvait croire Ă lâĂ©volution. Puisque jâavais passĂ© un temps considĂ©rable, au cours de la rĂ©union, Ă montrer quâil nây avait pas de mort avant la Chute, je lui ai demandĂ© sâil croyait Ă lâexistence de la mort avant quâAdam ne pĂšche. Sur un ton fĂąchĂ©, il mâa rĂ©pliquĂ© â Battez-vous votre femme ?â Sa question mâa vraiment surpris et je ne comprenais pas la relation quâil voulait Ă©tablir alors, je lui ai demandĂ© ce quâil voulait dire. Il mâa reposĂ© la question âBattez-vous votre femme ?â, puis il est parti. La vie dâun confĂ©rencier itinĂ©rant est remplie dâexpĂ©riences intĂ©ressantes! Cependant, jâai pensĂ© longtemps Ă la question de cet homme. AprĂšs une conversation avec un psychologue, jâai compris quâil y a un genre de questions auxquelles, que vous rĂ©pondiez oui ou non, vous ĂȘtes piĂ©gĂ©s. En fait, ce monsieur voulait poser la question âVous ĂȘtes-vous arrĂȘtĂ© de battre votre femme ?â Que vous rĂ©pondiez oui ou non, vous admettez que vous battiez votre femme. En rapport avec le pĂ©chĂ© dâAdam et la chute, si cet homme avait dit, âOui, il y a eu la mort avant la chute dâAdamâ, il eĂ»t Ă©tĂ© en contradiction avec la Bible. Sâil avait dit, âNon, la mort nâexistait pas avant la chute dâAdamâ, il reniait lâĂ©volution. Dâun cĂŽtĂ© ou de lâautre, il avait compris que lâon ne peut mettre ensemble lâĂ©volution et la Bible. Quelle que soit sa rĂ©ponse, il Ă©tait piĂ©gĂ©, et il le savait. Soyons clairs. Je ne dis pas que, si vous croyez Ă lâĂ©volution, vous nâĂȘtes pas un chrĂ©tien. Il y a beaucoup de chrĂ©tiens qui, pour des raisons diverses ignorance, orgueil, ou une interprĂ©tation libĂ©rale des Ecritures, croient Ă lâĂ©volution. Ceux qui y croient, cependant, ne sont pas en harmonie avec les Ecritures, et dĂ©truisent le fondement mĂȘme de lâEvangile. Par consĂ©quent, je les supplierais de reconsidĂ©rer sĂ©rieusement les Ă©vidences allant Ă lâencontre de leur position. MĂȘme les athĂ©es voient lâinconstance dâun chrĂ©tien qui professe foi en lâĂ©volution, comme le montre la citation dâun article Ă©crit par G. Richard Bozarth, intitulĂ© âLa signification de lâĂ©volutionâ du magazine LâathĂ©e amĂ©ricain The American Atheist, du numĂ©ro de Septembre 1978 page 19 âLe christianisme est â et doit ĂȘtre â totalement engagĂ© envers la crĂ©ation spĂ©ciale telle quâelle est dĂ©crite dans la GenĂšse et le christianisme doit lutter de toutes ses forces et par tous les moyens, bons et mauvais, contre la thĂ©orie de lâĂ©volution. Il apparaĂźt clairement, maintenant, que toute la justification de la vie et de la mort de JĂ©sus est bĂątie sur lâexistence dâAdam et dâEve et le fruit dĂ©fendu quâils ont mangĂ©. Sans pĂ©chĂ© originel, qui a besoin dâĂȘtre rachetĂ©? Sans la chute dâAdam dans une vie de pĂ©chĂ© constant aboutissant Ă la mort, quel but y a-t-il dans le christianisme? Aucun. â LâathĂ©e Jacques Monod connu pour ses contributions Ă la biologie molĂ©culaire et Ă la philosophie a dit, dans une interview intitulĂ©e Le secret de la vieâ, diffusĂ©e par la Australian Broadcasting Commission le 10 juin 1978 âLa sĂ©lection naturelle est la maniĂšre la plus aveugle et cruelle de faire Ă©voluer de nouvelles espĂšces ou des organismes plus complexes et raffinĂ©s . . . .dâautant plus cruelle que câest un processus dâĂ©limination, de destruction. La lutte pour la vie et lâĂ©limination du plus faible est un processus horrible, contre lequel notre Ă©thique moderne se rĂ©volte. Une sociĂ©tĂ© idĂ©ale est une sociĂ©tĂ© non-sĂ©lective, câest celle oĂč les faibles sont protĂ©gĂ©s, ce qui est exactement le contraire de la soi-disant loi naturelle. Je suis surpris de constater que des chrĂ©tiens dĂ©fendent lâidĂ©e de la sĂ©lection naturelle comme processus plus ou moins mis en place par Dieu pour crĂ©er lâhomme.â Le pĂ©chĂ© originel, dont la mort est le rĂ©sultat, est la base de lâEvangile. Voici pourquoi JĂ©sus-Christ est venu et câest la raison dâĂȘtre de lâEvangile. Si le premier Adam nâest quâune figure allĂ©gorique, pourquoi en serait-il autrement du dernier Adam, JĂ©sus-Christ I Corinthiens 1545-47 ? Si lâhomme nâĂ©tait pas tombĂ© dans le pĂ©chĂ©, il nâaurait aucun besoin de Sauveur. LâĂ©volution dĂ©truit les fondations mĂȘme du christianisme parce quâelle affirme âLa mort a toujours fait partie de la vie.â Si vous viviez dans un gratte-ciel et que les ouvriers avec des marteaux pneumatiques Ă©taient en train dâen miner les fondements, diriez-vous âQuelle importance ?â VoilĂ pourtant ce que font beaucoup de chrĂ©tiens. Ils sont bombardĂ©s par lâĂ©volution de tous cĂŽtĂ©s les mĂ©dias, lâĂ©cole publique, la tĂ©lĂ©vision et les journaux et pourtant, ils ne rĂ©agissent que rarement. Les fondations du gratte-ciel du christianisme sont minĂ©es par les marteaux piqueurs de lâĂ©volution. Mais, Ă lâintĂ©rieur de ce gratte-ciel, que font la plupart des chrĂ©tiens? Soit, ils sont assis sans rien faire, soit ils fournissent dâautres marteaux piqueurs en disant, âAllez-y. DĂ©truisez nos fondations ! â Pire encore, les Ă©volutionnistes thĂ©istes ceux qui croient Ă la fois en lâĂ©volution et en Dieu minent activement la base de lâEvangile. Comme le dit le psalmiste dans le Psaume 113 âQuand les fondements sont renversĂ©s, le juste que fera-t-il?â Si la base de lâEvangile est dĂ©truite, la structure bĂątie sur ce fondement lâĂ©glise chrĂ©tienne sâeffondrera de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Si les chrĂ©tiens dĂ©sirent conserver la structure du christianisme, ils devront en protĂ©ger le fondement et sâopposer ainsi, activement, Ă lâĂ©volution. De nouveaux cieux et une nouvelle terre Le Paradis restaurĂ© LâĂ©volution contredit Ă©galement lâenseignement des nouveaux cieux et dâune nouvelle terre. Que nous dit la Bible Ă ce sujet? En Actes 321, nous lisons quâil y aura un rĂ©tablissement ou une restitution. Ceci signifie que les choses seront restaurĂ©es au moins Ă ce quâelles Ă©taient Ă lâorigine. Nous apprendrons ce Ă quoi ressemblera cette crĂ©ation restaurĂ©e âIl ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte.â EsaĂŻe 119. Les ĂȘtres seront vĂ©gĂ©tariens et il nây aura aucune violence. âLe loup habitera avec lâagneau, et la panthĂšre se couchera avec le chevreau. Le veau, le lionceau et le bĂ©tail quâon engraisse, seront ensemble, et un petit enfant les conduira. La vache et lâourse auront un mĂȘme pĂąturage, leurs petits un mĂȘme gĂźte. Et le lion, comme le boeuf, mangera de la pailleâ EsaĂŻe 116-7. â Ces animaux seront tous vĂ©gĂ©tariens ! âIl nây aura plus dâanathĂšmeâ Apocalypse 223. Dans la GenĂšse, nous trouvons que les hommes et les animaux avaient reçu lâordre de ne manger que des plantes voir GenĂšse 129,30; ils Ă©taient vĂ©gĂ©tariens. Ce nâest quâaprĂšs le dĂ©luge que lâhomme a reçu la permission de manger de la viande GenĂšse 93. Il Ă©tait vĂ©gĂ©tarien lorsque Dieu lâa créé et il nây avait aucune violence avant le pĂ©chĂ© dâAdam. Certains remettent en question lâaffirmation que les premiĂšres crĂ©atures Ă©taient vĂ©gĂ©tariennes. Ils disent que les lions ont des dents aiguisĂ©es faites pour manger de la viande. Est-ce nĂ©cessairement vrai? Ou est-ce seulement ce quâon nous a enseignĂ© Ă lâĂ©cole? En rĂ©alitĂ©, les canines aiguisĂ©es du lion sont bonnes pour dĂ©chirer. Les mĂȘmes dents qui servent Ă dĂ©chirer la chair dâanimaux peuvent aussi bien servir Ă dĂ©chirer des plantes. Selon la Parole de Dieu, les lions Ă©taient vĂ©gĂ©tariens avant la Chute et le seront, Ă nouveau, dans le paradis futur. Dâailleurs, des animaux carnivores peuvent trĂšs bien ĂȘtre vĂ©gĂ©tariens. Les chiens et les chats survivent trĂšs bien avec un rĂ©gime Ă©quilibrĂ© de lĂ©gumes. Aussi, la Bible nâexclut pas la possibilitĂ© dâune action directe de la part de Dieu au moment de la Chute, et lors de la restauration future, ayant un effet biologique direct sur les crĂ©atures en ce qui concerne leur rĂ©gime alimentaire. A lâheure actuelle, beaucoup dâanimaux ont des dents dites âcarnivoresâ comme le renard volant ou la chauve-souris Ă fruits mais ces animaux ne mangent que des plantes ou des fruits. Croire Ă lâĂ©volution, câest nier quâil y ait eu un paradis universel lors de la crĂ©ation dâAdam car lâĂ©volution implique nĂ©cessairement quâavant la venue dâAdam, il y avait la lutte, la cruautĂ© et la brutalitĂ©, des animaux qui sâentre-tuaient, et la mort. Le monde sera-t-il restaurĂ© Ă cet Ă©tat-lĂ ? Si vous croyez Ă lâĂ©volution, vous devez nier quâil y ait eu un paradis universel avant Adam parce que vous croyez quâil y avait la lutte et la mort pendant des millions dâannĂ©es avant Adam et quâil en sera de mĂȘme Ă la fin des temps parce que la Bible enseigne que le monde sera restaurĂ© Ă ce quâil Ă©tait au dĂ©but. Ainsi, lâĂ©volution frappe non seulement au coeur et au fondement mais aussi Ă lâespĂ©rance du christianisme. Nous devons tous ĂȘtre sur la brĂšche pour ce combat. Beaucoup dâentre nous ont Ă©tĂ© abusĂ©s au point de croire que lâĂ©volution ne concerne que la science et quâil faut ĂȘtre un savant pour lutter sur ce front. Mais lâĂ©volution est un systĂšme de croyances et il nây a nul besoin dâĂȘtre un scientifique pour la combattre. Les Ă©volutionnistes Ă©voquent le phonĂ©mĂšne des mutations les erreurs gĂ©nĂ©tiques et celui de la lutte et de la mort Ă lâheure actuelle pour essayer de prouver que lâĂ©volution est possible. Par consĂ©quent, les chrĂ©tiens qui croient en lâĂ©volution sont obligĂ©s de croire que ce processus continue de nos jours. Les Ă©volutionnistes extrapolent dans le passĂ© Ă partir de donnĂ©es actuelles, dĂ©duisant que tout a Ă©voluĂ©, par des mutations, pendant des millions dâannĂ©es. Logiquement, un Ă©volutionniste chrĂ©tien doit croire que lâĂ©volution continue jusquâĂ nos jours dans tous les domaines, y compris pour lâhomme. Cependant, Dieu a dit dans Sa Parole que lorsquâIl avait tout créé, Il termina Son oeuvre de crĂ©ation quâIl trouva bonne GenĂšse 131- 23. Ceci est Ă lâopposĂ© de ce que nous disent les Ă©volutionnistes. Les Ă©volutionnistes thĂ©istes ne peuvent pas prĂ©tendre que Dieu se soit servi de lâĂ©volution dans le passĂ© et quâIl ne sâen sert plus de nos jours. Dire que lâĂ©volution ne se fait pas aujourdâhui câest dĂ©truire la thĂ©orie Ă©volutionniste, puisque rien ne peut prouver que, si le processus a eu lieu dans le passĂ©, pourquoi, quand et comment nâa-t-il plus lieu aujourdâhui. Beaucoup de chrĂ©tiens, en apprenant quelle est la vraie nature de la science - que lâĂ©volution est une religion - abandonnent les croyances telles que lâĂ©volution thĂ©iste ou la crĂ©ation progressive. Cependant, il reste encore un grand nombre de pasteurs, de thĂ©ologiens et dâautres, qui, Ă cause de leur vue globale des Ecritures, nâaccepteront pas ce que nous disons. Ils ont un dĂ©saccord philosophique de base avec nous en ce qui concerne lâapproche de la Bible. Peut-ĂȘtre que le meilleur moyen de rĂ©sumer cet argument est de vous donner lâillustration de lâune de mes rencontres avec un pasteur protestant. Certains membres du personnel de la Christian Science Foundation Ă Brisbane, Australie, avaient parcouru km jusquâĂ Victoria pour animer des rĂ©unions dans des lieux divers. Dans lâune de ces localitĂ©s, un des pasteurs sâest opposĂ© publiquement Ă nous. Un autre pasteur de la mĂȘme Ă©glise avait prĂ©parĂ© une annonce pour le journal paroissial annonçant nos confĂ©rences. Mais le pasteur opposant a obtenu lâoriginal avant la mise sous presse et a supprimĂ© lâannonce. Il a encouragĂ© les gens Ă boycotter notre sĂ©minaire et a dit beaucoup de choses dĂ©sobligeantes concernant notre organisation et notre enseignement. Il a mĂȘme dit aux gens que nous Ă©tions du diable et que lâon ne devait pas nous Ă©couter. Jâai pris rendez-vous avec ce pasteur afin dâen discuter avec lui. Il mâa expliquĂ© quâil croyait que la GenĂšse Ă©tait purement symbolique, quâil y avait un grand nombre dâerreurs dans la Bible et que lâon ne pouvait pas la prendre aussi littĂ©ralement que jâavais lâair de lâinterprĂ©ter. Je lui ai rĂ©pondu que la raison de ce dĂ©saccord, sur la question crĂ©ation/Ă©volution, Ă©tait due Ă notre approche personnelle trĂšs diffĂ©rente lâune de lâautre. Il a dit que câĂ©tait bien vrai, mais insistait que lâon ne pouvait prendre la GenĂšse au sens littĂ©ral mais seulement de maniĂšre symbolique. Je lui ai demandĂ© sâil croyait que Dieu avait créé les cieux et la terre. Il dit, âOui, câest bien le message enseignĂ© dans la GenĂšse.â DĂ©libĂ©rĂ©ment, jâai citĂ© GenĂšse 1 1 âCroyez-vous quâau commencement, Dieu crĂ©a les cieux et la terre? â Il rĂ©pondit, âOui, bien sĂ»r. Câest le message communiquĂ© par la GenĂšse.â Je lui ai expliquĂ© quâil venait de prendre GenĂšse 11 au sens littĂ©ral. Je lui ai demandĂ© sâil prenait ce verset au sens symbolique et, sinon, pourquoi le prenait-il littĂ©ralement. Puis, jâai demandĂ© si GenĂšse 12 Ă©tait Ă prendre littĂ©ralement ou symboliquement. Comment pouvait-il dire que tout le livre devait ĂȘtre interpretĂ© symboliquement, sâil prenait GenĂšse 1 1 littĂ©ralement. Il a dit que ce que disait la GenĂšse nâĂ©tait pas important â uniquement ce quâelle voulait dire. âComment pouvez-vous comprendre la signification indirecte dâun texte si vous ne savez pas ce quâil signifie littĂ©ralement?â Jâai demandĂ©, âSi vous ne pouvez pas prendre ce qui est dit pour arriver Ă la signification, alors lâanglais ou toute autre langue devient un non-sens.â" Je lui demandai alors de quelle maniĂšre il dĂ©cidait de ce qui Ă©tait vrai touchant les Ecritures. Il a rĂ©pondu, âPar un consensus dâopinion dans notre communion.â Alors jâai dit, âCeci est donc votre base pour dĂ©terminer ce qu'est la vĂ©ritĂ©. DâoĂč avez-vous cette base et comment savez-vous que câest la bonne base pour dĂ©cider ce quâest la vĂ©ritĂ©?â Il mâa regardĂ© et mâa dit, âPar un consensus dâopinion parmi les Ă©rudits.â De nouveau , je lui ai posĂ© la question âSi ce consensus dâopinion est votre base pour dĂ©terminer la vĂ©ritĂ© et pour dĂ©cider si votre communion est arrivĂ©e aux bonnes conclusions concernant la vĂ©ritĂ©, comment savez-vous que vous avez trouvĂ© la bonne base pour dĂ©terminer ce quâest la vĂ©ritĂ© ?â Il mâa dit alors quâil nâavait pas toute la journĂ©e pour parler de ce sujet et quâil valait mieux terminer la discussion. Ce quâil faisait, bien sĂ»r, Ă©tait de faire appel Ă la sagesse de lâhomme pour dĂ©cider de ce que signifiait lâEcriture, plutĂŽt que de laisser la Parole de Dieu lui dire ce quâĂ©tait la vĂ©ritĂ©. La vraie diffĂ©rence entre nos positions peut ĂȘtre rĂ©sumĂ©e comme suit OĂč placez - vous votre foi dans les paroles dâhommes qui sont des crĂ©atures faillibles qui ne savent pas tout et qui nâĂ©taient pas prĂ©sents lors de la CrĂ©ation ou dans les paroles du Dieu qui est parfait, qui sait tout et qui Ă©tait prĂ©sent Ă la CrĂ©ation? Les chrĂ©tiens, ou ceux qui se rĂ©clament de ce nom qui prennent cette vue libĂ©rale des Ecritures verront gĂ©nĂ©ralement les implications de cette fausse philosophie dans la gĂ©nĂ©ration suivante chez leurs enfants. Du fait quâils ne peuvent pas fournir un fondement solide pour leurs enfants, ils voient souvent toute la structure du christianisme sâeffondrer dans la gĂ©nĂ©ration suivante. Pour beaucoup de ces gens, la triste vĂ©ritĂ© est quâils perdront la plupart de leurs enfants, qui rejetteront le christianisme en bloc. Ce dilemme en rapport avec la thĂ©ologie libĂ©rale est trĂšs liĂ© Ă la controverse concernant la GenĂšse. Si quelquâun rejette la GenĂšse ou sâil affirme que le rĂ©cit est seulement un mythe ou du symbolisme, il devra logiquement renier le reste des Ecritures. Vous en voyez la preuve chez les gens qui essaient dâexpliquer, par des causes naturelles, les miracles tels que la traversĂ©e de la Mer Rouge, le buisson ardent ou un poisson qui avale un homme pour nâen nommer que quelques-uns. Mais ces gens ne sâarrĂȘtent pas lĂ . Ils essaient dâexpliquer les miracles de Christ dans le Nouveau Testament. Parfois, et câest de plus en plus frĂ©quent, ils nient mĂȘme la naissance du Christ dâune vierge, ainsi que la rĂ©surrection corporelle de JĂ©sus. Mais lorsque lâon accepte la GenĂšse comme Ă©tant un rĂ©cit historique vĂ©ridique servant de fondement Ă toutes les Ecritures, il est facile dâaccepter la vĂ©ritĂ© de tout le message de la Bible. Je prends la Bible littĂ©ralement Ă moins que la signification soit ouvertement symbolique. Et mĂȘme, lĂ oĂč le sens est symbolique, les mots et les phrases ont une base littĂ©rale. Beaucoup de gens se servent de la phrase biblique qui dit que JĂ©sus est la porte pour affirmer que lâon ne peut pas prendre la Bible littĂ©ralement. Cependant, une Ă©tude des coutumes de cette Ă©poque rĂ©vĂšle que le berger avait lâhabitude de sâasseoir dans lâouverture de lâenclos et il Ă©tait littĂ©ralement la porte. Donc, dans ce sens-lĂ , JĂ©sus est littĂ©ralement la porte, tout comme lâest le berger pour son troupeau. Trop de gens veulent tirer des conclusions hĂątives concernant lâaspect littĂ©ral des Ecritures, sans considĂ©rer soigneusement la dĂ©claration, le contexte et les coutumes. Nous pouvons interprĂ©ter un texte selon un sens symbolique ou selon ses mĂ©taphores lorsque ce sens-lĂ est clairement indiquĂ© ou que le texte le prĂ©cise en quelques mots. Bien entendu, beaucoup de thĂ©ologiens libĂ©raux accusent le ministĂšre crĂ©ationniste dâĂȘtre un facteur de division. Ils ont sĂ»rement raison de lâaffirmer car la vĂ©ritĂ© divise toujours. Comme lâa dit Christ, Il est venu pour diviser âCar je suis venu mettre la division entre lâhomme et son pĂšre, entre la fille et sa mĂšre, entre la belle-fille et sa belle-mĂšreâ Matthieu 1035. Ne connaissez-vous pas des familles oĂč les relations sont tendues, sinon brisĂ©es, parce quâun des membres vit pour Christ, tandis quâun autre vit dâune maniĂšre contraire ? Les compromis sont, hĂ©las, trop frĂ©quents avec le chrĂ©tien qui cĂšde sur ses convictions pour avoir la paix et lâharmonie. JĂ©sus a prĂ©dit une lutte et non la paix Ă tout prix. En Luc 12/51 JĂ©sus a dit, âPensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre? Non, vous dis-je, mais la division.â Voir aussi Jean 712, 43; 916; 1019. Dâun point de vue pratique, je trouve que les Ă©lĂšves ne veulent pas entendre que la Bible est remplie dâerreurs et quâils ne doivent pas y placer leur confiance. Au contraire, ils veulent entendre quâil y a des rĂ©ponses et quâils peuvent avoir des certitudes. Lors dâune rĂ©union, une mĂšre mâa dit que sa fille allait dans une classe dâĂ©cole publique Ă laquelle je mâĂ©tais adressĂ©. Sa fille lui a expliquĂ© que ce qui avait impressionnĂ© les Ă©lĂšves, plus que toute autre chose, est que jâavais parlĂ© avec beaucoup dâautoritĂ©. Ils Ă©taient impressionnĂ©s du fait que je ne remettais pas en question la Parole de Dieu mais que je lâacceptais totalement. Cela mâa rappelĂ© cette affirmation des Ecritures; âAprĂšs que JĂ©sus eut achevĂ© ces discours, la foule fut frappĂ©e de Sa doctrine; car Il enseignait comme ayant autoritĂ©, et non pas comme leurs scribesâMatthieu 728-29. JĂ©sus avait beaucoup dâautoritĂ© et de conviction lorsquâIl parlait. Il nâa pas annoncĂ© plusieurs chemins pour aller au ciel. Il nâest pas venu pour dĂ©clarer quâIl croyait ĂȘtre lâun des chemins pour accĂ©der Ă la vie Ă©ternelle. JĂ©sus a dit, âJe suis le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vieâ Jean 146. Je pense que JĂ©sus ne serait pas acceptĂ© dans bon nombre dâĂ©glises de nos jours sâIl venait prĂȘcher. Il serait un facteur de division! Il en Ă©tait de mĂȘme il y a deux mille ans. Sommes-nous, les chrĂ©tiens nĂ©s de nouveau, le corps de Christ sur la terre aujourdâhui, trop timorĂ©s pour proclamer la vĂ©ritĂ©, de peur de provoquer une division? Dans une Ă©glise, jâai parlĂ© Ă un groupe de jeunes sur lâimportance de la GenĂšse. JâĂ©tais Ă©tonnĂ© que le responsable du groupe se soit levĂ© Ă la fin du programme pour dire aux jeunes Ă quel point il Ă©tait déçu de ma vue âbasseâ des Ecritures. Il disait que jâessayais dâimposer une Bible parfaite Ă Dieu et combien ce point de vue Ă©tait limitĂ© et inadĂ©quat. De son cĂŽtĂ©, il Ă©tait prĂȘt Ă accepter que la Bible contienne des erreurs et des problĂšmes. Ceci reprĂ©sentait sa vue âhauteâ des Ecritures. AprĂšs cette conversation, jâai compris que les mots nâavaient aucune signification pour cet homme. Beaucoup de gens dans les Ă©glises surtout ceux de la jeune gĂ©nĂ©ration ont remarquĂ© le manque dâautoritĂ© dans lâenseignement. Câest un bien triste verdict pour nos Ă©glises. Comment nourrissent-elles leurs membres?
Lamort est a une dĂ©finition en science qui caractĂ©rise la fin de l'activitĂ© cĂ©rĂ©brale d'un ĂȘtre vivant. Ne changeons pas le sens des mots. On peut (pourrait) assimiler la pensĂ©e Ă un ensemble de solĂ©noĂŻdes (en matĂ©riau supra conducteur) dans lequel circule un courant (on le fait d'ailleurs parfois je crois). TantĂŽt, j'Ă©tais avec des amis et, fouillez-moi pourquoi, mais nous nous sommes retrouvĂ©s devant un dilemme d'une vacuitĂ© complĂšte "Qui, au QuĂ©bec, pourrait remplacer Guy A. Lepage Ă la barre de Tout le monde en parle?" Pas que Guy A. ait signifiĂ© son dĂ©sir de quitter l'Ă©mission. Seulement, plusieurs des amis en question n'Ă©taient absolument pas convaincus de ses performances et souhaitaient le voir disparaĂźtre sur-le-champ. Marie trouve qu'il consulte trop ses cartons. François, lui, le trouve mou comme un minou. Personnellement, ses homĂ©lies en dĂ©but d'Ă©mission me font soupirer. Cela Ă©tant dit, qui d'autre aurait le bagou, la notoriĂ©tĂ©, la culture gĂ©nĂ©rale et l'humour voulus pour remplacer le curĂ© Lepage Ă la messe du dimanche? C'est ici que les choses se corsent. Car aprĂšs une demi-heure de brainstorming, la rĂ©ponse unanime est personne. Marc LabrĂšche? Trop cabotin. Marie-France Bazzo? Trop fine. France Beaudoin? Beaucoup trop fine. BenoĂźt Dutrizac? C'Ă©tait ma proposition. Le type maĂźtrise l'art de l'entrevue de fond sans compromis. Sa place n'est pas Ă TQS. Mais j'Ă©tais le seul Ă partager cet avis⊠Patrick LagacĂ©? Trop jeune. RenĂ© Homier-Roy? Mmmmmh. Peut-ĂȘtre. Mais un peu trop vieux. Pierre Brassard? Pas mauvais. Mais pas Ă Tout le monde en parle. Guy Nantel? Pas suffisamment d'expĂ©rience. Jean-RenĂ© Dufort? Pas le bon Ă©cosystĂšme Franco Nuovo? PitiĂ©. Julie Snyder? Plus aujourd'hui. Paul Arcand? Il lui manque le cĂŽtĂ© givrĂ©. François Parenteau? Le jupon dĂ©passe un peu trop. Et si on allait vers des choix moins Ă©vidents⊠L'humoriste François LĂ©veillĂ©e, peut-ĂȘtre? Ou peut-ĂȘtre Patrick Huard? Jean-Marc Parent? Et vous, qui verriez vous Ă la place de Guy A.? On jase lĂ âŠPeude gens affrontent la mort avec peur. Dâailleurs, tout tend Ă prouver que les affres de la mort nâexistent pas. En gĂ©nĂ©ral, les vieillards et les infirmes font bon accueil Ă la