La ville de La Roche-sur-Yon se trouve dans le département français de la Vendée 85, en région Pays de la Loire. Cette ville dépend de l’académie de Nantes et compte 131 000 étudiants dont 6000 qui ont choisi cette ville pour leurs études supérieures. Cependant, réussir son orientation ou sa réorientation c’est déjà bien engager sa carrière professionnelle. La Roche-sur-Yon semble alors être un cadre idéal pour les études d’art avec de nombreux établissements implantés. Choisir le cadre idéal pour votre formation en art est un atout. Dans cet article, trouvez les différents établissements d’art à la Roche sur Yon et faites votre choix. Sommaire1 Choisir les écoles La formation dans les écoles d’ Les débouchés des écoles d’art2 Choisir la voie 1re année de Licence d’arts 2e année de licence d’arts 3e année de Licence d’arts plastiques3 Choisir la bonne La qualité de l’ La qualité du Des labels de qualité4 Conclusion5 Choisir les écoles Supérieures La Roche-sur-Yon est une ville créée sous l’impulsion de Napoléon Bonaparte. Elle est le principal centre urbain du département, et un centre économique aux multiples fonctions. L’art étant mis en valeur, La Roche-sur-Yon abrite plusieurs établissements entre autres École de dessin ; École d’art École art et digital École de graphisme École de design École des beaux-arts École de multimédia Grande école d’art La formation dans les écoles d’art Dans les établissements artistiques de La Roche-sur-Yon, vous pouvez y pratiquer selon le département choisi, soit la musique, la danse, le théâtre. Ces écoles possèdent un auditorium, un espace d’art contemporain propice lors des moments d’interaction culturelle, de performances et d’exposition. Elles initient grands et petits à la pratique des arts. Ce public varié et intergénérationnel reçoit des enseignements artistiques de manière pratique exemple de la photographie, la peinture, l’histoire de l’art, le dessin, le modelage. Il y’a des formations d’art diverses et variées qui peuvent recevoir plus de 500 apprenants pour des cours, des stages, des conférences. Les élèves des classes élémentaires et les lycéens de La Roche-sur-Yon participent chaque année à quelques programmes d’éducation artistique et culturel. Les étudiants de l’INSPE et de l’IUT sont également bien accueillis. Pour une formation d’art au Conservatoire de la Roche-sur-Yon, les disciplines qui y sont enseignées sont la musique, la danse et le théâtre. Le conservatoire de la Roche sur Yon a plus de 1000 étudiants inscrits dans ces filières. Le conservatoire a mis sur pied un programme intervention en milieu scolaire. Ce projet concerne plus de 2500 élèves d’écoles primaires et 60 enseignants pour la formation. Les débouchés des écoles d’art Après la formation, les études supérieures d’arts plastiques vous offrent plusieurs choix dans votre carrière professionnelle. Vous pouvez devenir un pur créateur sculpteur, peintres, dessinateur, mais, il est parfois difficile de gagner sa vie grâce à ces métiers. Vous avez aussi le choix d’exercer des métiers identifiés tels que spécialiste de l’expression sonore. C’est travailler comme ingénieur de son à la radio ou à la télévision par exemple. Vous pouvez devenir dessinateur et faire des illustrations ou encore être enseignant dans une école d’art. fonction qui est la plupart du temps cumulée. Si vous avez fait de l’art appliqué, vous pouvez être graphiste, infographiste, webdesigner… Choisir la voie universitaire Avec près de 80 formations supérieures proposées dans 23 établissements, La Roche-sur-Yon séduit chaque année de nouveaux étudiants. L’académie de Nantes compte plus de 37 000 étudiants, et ceux de La Roche-sur-Yon sont divisés en deux établissements le Pôle universitaire et l’ICES. On a 1600 étudiants pour le pôle universitaire et 1300 sur le campus de l’Institut Catholique d’Études supérieures ICES. L’ambition est d’offrir des formations de qualité. Mais sachez que l’enseignement de l’art plastique ou des arts appliqués à l’Université est différent de celui qui est dispensé dans les écoles d’art. À l’université il y’a trois grandes filières artistiques Arts du spectacle ce sont les cours d’analyse filmique, l’histoire de la mise en scène… Les arts plastiques c’est l’analyse des œuvres d’art, l’histoire de l’art, l’esthétique. Et histoire de l’art elle englobe l’histoire de la création artistique, la peinture, la sculpture, l’architecture… Les études d’art plus ou moins théoriques, et selon les universités, mènent essentiellement à l’enseignement. Ainsi, après l’obtention du Baccalauréat, si vous décidez de vous inscrire en Licence d’art plastique ou appliqué, vous devez savoir que les cursus sont spécifiques dans chaque Université. Au départ, vous faites une formation généralisée puis à mesure que vous avancez des possibilités d’approfondissement et de diversifications s’offrent à vous. Voici un exemple de parcours universitaire en art plastique 1re année de Licence d’arts plastiques Vous choisissez 6 cours théoriques, un dans chaque rubrique par semestre et quatre cours pratiques. 2e année de licence d’arts plastiques Vous choisissez ici 6 cours théoriques et 6 cours pratiques, également un dans chaque rubrique par semestre, soit au total 12. Le stage est prévu dans la rubrique découverte et des conférences dans la rubrique développement. 3e année de Licence d’arts plastiques En troisième année, vous choisissez 6 cours théoriques et 4 cours pratiques. Un projet de fin de Licence est au programme. Vous pouvez au terme de votre formation universitaire soit continuer en Master recherche, soit faire un concours de l’enseignement, ou débuter une recherche d’emploi. Choisir la bonne orientation Il existe une multitude d’écoles d’art partout en France et particulièrement dans la ville de La Roche-sur-Yon. Il est vrai que la vie d’artiste fait rêver, mais les études des métiers de la création demandent un investissement personnel et beaucoup de travail. Vous devez savoir que l’art implique ténacité, imagination et une bonne culture artistique. Ces qualités permettront de vous démarquer de la multitude des candidats qui aspirent à faire leur formation dans ces grandes écoles. Il est essentiel avant cela de savoir comment choisir la bonne école, celle qui vous offrira une meilleure formation ainsi que des débouchés. Pour cela, voici trois critères qui vous permettront de choisir la bonne orientation. La qualité de l’école Dans le choix de votre école de formation en art, vérifiez le degré de reconnaissance. Les écoles publiques délivrent des diplômes nationaux qui sont soumis à une réglementation. Celles-ci sont harmonisées au niveau national. Les écoles privées quant à elles font la demande d’une reconnaissance d’État. En d’autres termes, l’État contrôle le fonctionnement de l’école, de ses formations, de ses enseignants. La deuxième reconnaissance pour les écoles d’art, c’est celle du ministère de la Culture. Il atteste de la qualité de l’école, mais elle ne peut pas accueillir les boursiers. La qualité du diplôme À ce niveau, il est important de vérifier si le diplôme est inscrit au Répertoire national des Certifications professionnelles RNCP. Dans le cas où il y est inscrit, vous avez alors la certitude que ce diplôme vous apportera les compétences professionnelles nécessaires. Il vous permettra d’exercer votre métier partout. L’État c’est-à-dire les Universités et les écoles publiques sont les seules habilitées à délivrer des Masters. Mais, certaines écoles peuvent également les délivrer avec l’autorisation de l’État bien sûr. La plus haute garantie pour un diplôme c’est le visa. Lorsqu’un diplôme est visé, il a l’équivalence d’un diplôme national. Des labels de qualité Le ministère de l’Enseignement supérieur délivre un visa pour une durée variable. Il va de 1 à 6 ans. Ce visa est l’aboutissement d’un processus de reconnaissance qui finalise un contrôle complet. À part cela, il n’existe pas de label propre aux écoles d’art. il y’a certaines écoles qui sont rattachées à d’autres institutions qui délivrent également des labels de qualité. Mais l’attribution du visa aux écoles d’art n’est pas une pratique habituelle. Conclusion La Roche-sur-Yon, commune française qui est située au centre de la Vendée, est un excellent cadre pour les études. Elle offre aux étudiants français et internationaux diverses formations artistiques. Vous avez le choix entre suivre une formation d’art dans une école ou à l’université.

Depuis la fondation de La Roche-sur-Yon en 1804, environ 70 œuvres y ont été installées dans l’espace urbain ou les bâtiments publics. Malgré une Histoire artistique tardive, à l’image de nombreuses villes de France, La Roche-sur-Yon a construit un fonds d’art public important sans l’avoir pour autant adopté. Plan du projet de ville nouvelle à La Roche-sur-Yon, collection des Archives nationales La Roche-sur-Yon a été fondée par décret impérial le 25 mai 1804 dans un but très simple, pacifier et civiliser la Vendée encore meurtrie par l’insurrection et sa répression. Conscient de la complexité du département, Napoléon a accordé une certaine autonomie aux ingénieurs des ponts et chaussées. Emmanuel Crétet, ayant pleine conscience du rôle de l’espace public et s’inspirant de la ville de Philadelphie, statue pour un plan ordonné autour d’une immense place civique centrale, de quatre places secondaires et de nombreux lieux de promenade, de marchés… À La Roche-sur-Yon, la vie se joue sur deux types d’espaces bien distincts, les jardins privatifs généralisés et les places publiques. L’esplanade centrale de trois hectares regroupe la majorité des bâtiments officiels et prend ainsi le rôle qu’avait le Forum dans l’Antiquité romaine. Si l’introduction appuie sur la naissance de la ville, c’est que l’art public aurait pu y avoir un rôle fondateur dans les usages urbains. Cela a été plus compliqué que prévu. Et pour cause, si les édifices doivent être neutres dans nombre de théories des Lumières, la question de la mise en valeur des perspectives via monuments, obélisques… a une importante réelle dans la signifiance des lieux de vie de la cité. Néanmoins, l’application de ce principe fut impossible. Les difficultés financières ont freiné le développement de la ville et ce n’est qu’en 1838 que la première statue est apparue dans l’espace urbain. Le sculpteur angevin Hyppolyte Maindron a en effet réalisé un monument dédié au général Travot qui a été installé sur la place centrale. Cette statue de bronze, sera déplacée en 1853 avant d’être fondue par l’occupant en 1942. Emilien de Nieuwerkerke, statue équestre de Napoléon, place Napoléon, La Roche-sur-Yon. Photo William Chevillon La seconde moitié du XIXe siècle voit naître un essor culturel à La Roche-sur-Yon, mais l’art public reste le parent pauvre de ce développement. En 1896, la ville décide de rendre hommage à son prix de Rome de peinture 1850, Paul Baudry. Une sculpture de Jean-Léon Gérôme est alors installée face à la préfecture. Elle sera elle aussi fondue par l’occupant en 1942, subsiste néanmoins le modèle en plâtre dans les collections du musée des Beaux-Arts de Nantes. À la même période, une statue en pierre rendant hommage au député républicain Sébastien Luneau est installée à l’école normale. Après cela et jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, la seule œuvre érigée dans l’espace public de La Roche-sur-Yon sera une statue représentant l’astronomie déposée par l’Etat car provenant du premier palais du Trocadéro. En effet, la refonte du lieu préfigurant l’Exposition Universelle de 1937 a entrainé la dispersion d’œuvres sur l’ensemble du territoire national. Victor Brecheret, O Grupo, rue La Fayette, La Roche-sur-Yon. Photo William Chevillon Après la guerre, ce sont également des dépôts d’œuvres que la ville va connaître comme souvent en France, en compensation des réalisations détruites ou disparues. Trois sculptures seront installées, Fra Angelico par Jean Boucher, le Nid d’amour par Auguste Suchetet et O Grupo de Victor Brecheret. Cette dernière œuvre, du maître brésilien, faisait partie des acquisitions de l’année 1933 du Jeu de Paume. C’est lors de la seconde moitié du vingtième siècle que l’ensemble du fonds artistique public de La Roche-sur-Yon va se constituer, l’apparition du 1% artistique va y contribuer de manière notable. Faute d’archives exhaustives, on peut estimer à 28 le nombre de réalisations à La Roche-sur-Yon dans le cadre du dispositif qui a fêté ses 60 ans en 2011. Ajoutons qu’à ce jour, 11 de ces œuvres sont détruites ou disparues sans compter celles qui sont partielles ou en grand danger. Carlos Cruz-Diez, Colonne Chromointerférente œuvre détruite en 2014, collège des Gondoliers, La Roche-sur-Yon. Photo William Chevillon. Fondation Cruz-Diez S’il y a une originalité dans le 1% artistique à La Roche-sur-Yon, c’est la place accordée à l’art cinétique et à l’art cybernétique. En effet, l’amitié entre l’architecte local René Naulleau et le conseiller régional aux Arts plastiques Pierre Chaigneau – qui a accompagné la naissance de nombreux musées comme le MASC des Sables-d’Olonne, le MAMAC de Nice, le LaM de Villeneuve-d’Ascq…–, a permis de faire venir quatre artistes que sont Yaacov Agam, Antonio Asis, Carlos Cruz-Diez et Nicolas Schöffer. Faute d’entretien, la sculpture d’Antonio Asis a été détruite par le Département, tout comme la Colonne Chromointerférente de Carlos Cruz-Diez en 2014. Il faut bien comprendre que pour une ville comme La Roche-sur-Yon environ 40 000 habitants en 1970, la présence d’œuvres des quatre artistes est tout à fait exceptionnelle. Le 1% artistique à La Roche-sur-Yon, c’est aussi deux prix de Rome de sculpture René Leleu et Béatrice Casadesus, quelques artistes extérieurs au département Bertrand Dorny, Pedro Portugal, Maryse Eloy, Bernard et Clotilde Barto… et nombre de créateurs locaux comme Albert Deman, Jacques Golly, Jacques Launois ou Robert Lange. Jean-Pierre Viot, Sculpture du bicentenaire, place François Mitterrand, La Roche-sur-Yon. Photo William Chevillon Sur le plan des acquisitions par les collectivités, environ 32 œuvres ont été réalisées depuis 1952, date à laquelle un des premiers embellissements urbains, face à la gare, a permis l’installation d’un couple de Danseurs du bocage sculpté par les frères Jan et Joël Martel. S’en suivra une période assez creuse de trente ans alors même que la population va doubler. Des œuvres réalisées de 1980 à nos jours, nous pouvons retenir par exemple la période commémorative de 1993. La municipalité va se baser sur le discours de Georges Clemenceau du 30 septembre 1906 appelant à l’unité autour de la République une stèle-obélisque de Jean-Luc Cousin sera inaugurée à cette occasion, tandis que le conseil général va honorer avant tout les vendéens tués pour avoir défendu leur liberté une tapisserie de Maurice de La Pintière est installée depuis à l’hôtel du département. La période du bicentenaire de La Roche-sur-Yon, sera également prétexte à l’installation d’œuvres sur l’espace public, une sculpture de Jean-Pierre Viot pour le jardin de la préfecture ainsi qu’une tapisserie de Jacques Brachet pour le hall de l’hôtel de ville. Bernard Pagès, Fontaine Olof Palme, place du Théâtre, La Roche-sur-Yon. Photo William Chevillon En ce qui concerne la Commande publique dispositif engageant l’Etat, deux œuvres ont été réalisées sur deux places publiques de La Roche-sur-Yon. La première est la seule sculpture urbaine de Daniel Tremblay, l’artiste étant mort pendant sa réalisation en 1985. Cette œuvre est intitulée L’homme appelant la Liberté, en mémoire des déportés de la Seconde Guerre Mondiale. La seconde Commande publique a été réalisée par Bernard Pagès en 1986 dans le cadre du programme Sept fontaines monumentales en France porté par l’Association pour le développement de l’environnement artistique. La fontaine installée a considérablement marqué les habitants. Et pour cause, l’incompréhension face à une symbolique peu expliquée et le coût important de l’aménagement, ont suscité l’émoi. À La Roche-sur-Yon comme ailleurs, l’art public n’est pas toujours compris, parfois méprisé, alors que sa vocation première est donner corps à des espaces et de provoquer l’émotion. Trop régulièrement il y a l’installation puis l’oubli. L’oubli d’entretenir, l’oubli de respecter la volonté de l’artiste, l’oubli de donner des clés pour la compréhension… Quand la colonne de Cruz-Diez a été détruite, nul ne s’en est ému avant deux mois, le temps que l’affaire soit révélée. A ce moment-là, ce qui a fait réagir c’est la valeur financière prise par l’œuvre au bout de quarante ans. Rien ou très peu sur la perte artistique et le rôle que devait avoir l’œuvre sur les élèves et usagers du collège où avait été réalisé ce 1%. Il y a presque cinquante ans, Pierre Chaigneau donnait un coup de fouet à la culture locale en réconciliant les formes artistiques les plus variées dans un cycle d’expositions qui a fait date, et dans un appui pour un accès de tous à l’art. Souhaitons que son message soit enfin compris et que l’art public retrouve la place qui doit être la sienne. Retrouvez toutes les œuvres mentionnées dans l’article sur la carte ci-dessous [MAJ octobre 2016] Aller plus loin plan-guide L’art dans l’espace public à La Roche-sur-Yon, par William Chevillon

septembre 2016 > mars 2017 C’était 7 Familles Projet réalisé dans le cadre d’une résidence dans l’atelier Edition dirigé par Djamel Meskache Edition Tarabuste et enseignant, avec les de l’atelier et les étudiantes en Métier du livre et édition » de l’Université de Nantes Artiste invitée Conception et réalisation du jeu de cartes C’était 7 familles », un jeu de 7 familles particulier Les histoires familiales de mes contemporains m’intéressent et structurent une partie de mon travail de plasticienne. La famille est le premier moule qui forme notre identité. Quelle place avons-nous dans notre fratrie, qui sont nos parents ? D’où viennent-ils ? Où habitons-nous ? Qui sont nos ancêtres ? Qu’est-ce qui nous est transmis ou non? Quels échos cela apporte-t-il sur nos propres vies ? Quand Hélène Galdin m’a proposé la résidence à l’école d’art de la Roche sur Yon avec la contrainte imposée art, édition, jeunesse », l’idée de créer un jeu sur les familles recomposées a germé. Mais je n’imaginais pas l’énorme casse-tête pour réadapter les règles du jeu en fonction de la complexité des familles d’aujourd’hui ! Aussi passer de l’idée à la réalisation a représenté de longs mois de travail, de réflexion, de recherches, d’essais, d’erreurs, de découragement mais aussi de satisfaction. Les rendez-vous du lundi soir avec l’équipe ont été stimulants et constructifs. C’était 7 familles » est une projet pour la jeunesse. Je n’avais jusqu’alors, jamais adapté mon travail pour ce public. Inspirée par plusieurs illustrateurs contemporains, le style de ce jeu est à part de mon travail habituel.

AmandineDurand - Lycée Notre-Dame-du-Roc La Roche-sur-Yon Posté le 16/01/2021 à 00:00:00 J’ai été étudiante en BTS AM initial, formation inutile, des profs qui se permettent de s’appuyer sur la « vie professionnelle » alors qu’elles n’ont pas côtoyé la vie professionnelle.. elles se permettent de critiquer votre stage alors que clairement à part enseigner, elles n’ont

Conférence Bâtiment G, 85000 LA ROCHE-SUR-YON À propos Date Tarifs Informations de contact Par Louise ROBIN Historienne de l’art, Titulaire d’un DNSEP de l’Ecole des Beaux-arts et d’un DEA en histoire de l’art, Louise Robin a reçu une double formation plastique et historienne, entre Nantes Ecole des Beaux-arts, Rennes Université et Paris Ecole du Louvre et EHESS. Spécialisée en Art Contrairement à l'expression consacrée qui voudrait qu'on ne discute pas des goûts, ni des couleurs, la conférence abordera l'histoire du goût en peinture en mettant à distance les approches trompeuses de l'appréciation personnelle. En prenant appui sur de nombreux artistes Botticelli, Greco, Ingres, ou encore les pompiers »... , nous serons attentifs aux différents critères de la fabrication du goût selon les époques religieux et politiques, mais aussi rôle des commanditaires, musées, critiques... pour mesurer la relativité de la réception des œuvres. Tarif Gratuit pour les étudiants UP et autres étudiants sur présentation de la carte 2022/2023 5€ tout public Pas de réservation - Billetterie sur place . Date Le 02 février Jeudi Ouvre à 18h30 Tarifs Haut de la page Édition- École d'art de la Roche-sur-Yon. Léa Bonnin. 1 50. Save . Biocoop - Croq'Bio La-Roche-Sur-Yon (85) Yves PHELIPPEAU. 0 76. Save . Urban Dragonfly Farms. Multiple Owners . 921 2.9k. Save . LA. A Kolesnyk. 12 39. Save . LA ROCHE-SUR-YON | FRANCE. Hamza Aariza. 3 32. Save . Les Vergers de Vendée La-Roche-Sur-Yon (85) Yves PHELIPPEAU. 0 41. Save . la tormenta. A

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