Lesélèves de la classe de 4ème n'ont pas moins bien fait que leurs camarades de 6ème. Les carnets de lecture sur l'oeuvre de CORNEILLE sont de grande qualité et montrent ainsi leur maturité
Quiconque ouvre la porte de la spiritualité se trouve automatiquement sur le chemin des questions existentielles. Certains y sont depuis bien plus longtemps et nous offrent alors des réponses souvent précieuses. Les anciens, les sages, les gurus et les maîtres ont de tout temps existé et nous sont d’une grande aide. Par nous » j’entends l’individu mais aussi l’humanité. Ne dit-on pas Quand l’élève est prêt, le maître arrive » ? Il est facile dès lors d’adopter chaque parole du maître pour vraie, de l’accepter sans résistance. Mais, bizarrement, le disciple finit toujours par partir vers d’autres horizons, parfois même le coeur amer de déceptions vis à vis de ce maître qu’il aura tant chéri. La raison est simple l’élève en quête de Connaissances est tout simplement en quête de lui-même. En chacun de nous réside la Création, la Connaissance universelle, et donc une éternelle sagesse. Ce que nous cherchons en réalité, à travers nos maîtres, est l’accès à ce que nous sommes déjà. C’est pourquoi nous n’obtiendrons jamais entière satisfaction tant que nous ne comprenons pas que le maître est dedans. Une fois le principe Je suis un maître » intégré, nous écouterons encore ces maîtres de manière attentive notamment à un autre niveau. Il s’agira, entre autres, d’un dialogue énergétique, d’échanges de vibrations aux fréquences ultra élevées, là où les mots deviennent inutiles. Parce que l’élève et le maître ont compris qu’ils sont pareils, qu’ils appartiennent l’un à l’autre et qu’aucun n’est indépendant. Le maître est alors là pour jouer en conscience à la co-création de deux âmes où les rôles n’existent plus. En matière de spiritualité, pour résumer, tu es un maître absolu. Il y a autant de maîtres sur Terre que d’idées et toutes les vérités sont acceptables, du moment qu’elles te servent. Bouddha disait d’ailleurs La vérité c’est ce qui est utile ». En tant que Créateur tu es libre de créer n’importe quelle réalité. Libre de jouer avec la vie, ses illusions et ses maîtres qui sont tous une facette de ce que tu es déjà. Alors, cher maître, pose-toi juste la question de ce que tu aimerais créer… là maintenant ? À découvrir aussi
Ensuite dites merci à l’Univers d’avoir pu en devenir conscient et passez à l’étape suivante : faites des choix intelligents pour vous. Allez-y graduellement ! Allez-y graduellement ! Pour vous aider, posez-vous la question suivante : Si toutes les circonstances étaient parfaites autour de moi, qu’est-ce que je choisirais de dire, de faire, d’avoir ou d’être en ce moment ?
Genres littéraires ► Le théâtre ► vous êtes iciGenres littéraires » Le théâtreHistoire et règles de la tragédieSommaire La tragédie antique Aristote et la tragédie Qu’est-ce qu’une tragédie ? La fable Les personnages Les règles de la tragédie classique en France Les trois unités Les unités cadre artificiel ou idéal ? Les bienséances La vraisemblance La tragédie peut-elle avoir une fin heureuse ? La tragédie après le XVIIe siècle La tragédie antiqueLe philosophe allemand Nietzsche, dans son livre La Naissance de la tragédie, a tenté d’expliquer historiquement l’apparition de ce genre majeur du théâtre dans la république athénienne du Ve siècle av. En fait, les modalités de cette apparition ne sont pas encore connues avec certitude aujourd’hui. Nous avons parlé des origines sacrées et rituelles du théâtre. À cela il faut ajouter deux éléments clés pour comprendre la naissance de la tragédie dans la Grèce antique le théâtre est un art communautaire. Il s’est développé à partir des rites et des célébrations officielles de la cité. En outre, ses sujets étaient tirés des mythes et des légendes communs aux principales cités noms prestigieux résument l’épanouissement de la tragédie Eschyle, Sophocle et Euripide. On considère Eschyle 525-456 av. comme le fondateur du genre. Ses tragédies s’inspirent de sujets mythologiques, comme son Prométhée enchaîné, ou bien de l’histoire récente, comme dans Les Perses, qui fait référence aux guerres qui opposèrent les cités grecques au puissant empire perse. Avec Sophocle 495-406 av. la tragédie atteint sa maturité littéraire. De son œuvre considérable, on a conservé sept tragédies, dont Antigone, Électre et Œdipe roi. Toutes ces œuvres s’inspirent de sujets mythologiques, qui seront repris par des auteurs français du XXe siècle Jean Anouilh a réécrit » Antigone et Jean Giraudoux Électre. Enfin, Euripide 480-406 av. est peut-être le premier auteur tragique moderne » de la Grèce antique. Si ses sujets sont toujours tirés de la mythologie, il met en doute la véracité de ces récits. Dans ses pièces, il analyse avec finesse la psychologie très humaine qu’il attribue aux personnages divins et Euripide, le déclin des cités grecques entraîne le déclin de la tragédie elle-même, trop liée à la vie collective de la cité-État. Lorsque le philosophe Aristote, au IVe siècle av. compose son traité sur la tragédie intitulée Poétique, la grande période du genre était déjà passée, un peu comme ce fut le cas en France après Racine.→ À lire Sophocle Œdipe roi. → À lire aussi La tragédie et la tragédieL’ouvrage d’Aristote exerce toujours une influence immense plus de dix-huit siècles après la mort de son auteur. Sans la Poétique , la tragédie n’aurait sans doute pas existé en tant que telle en Europe. À partir de la Renaissance, ce texte a été maintes fois traduit parfois très librement, interprété, et commenté. Résumons la théorie qu’il qu’une tragédie ?Pour Aristote, c’est l’imitation mimesis, en grec d’une action sérieuse et complète en elle-même, dans une forme dramatique, et non pas narrative comme dans la poésie épique ; cette action dramatique » c’est-à-dire jouée sur scène par des acteurs comporte des péripéties qui se terminent par une situation très malheureuse, laquelle suscite chez le public les deux sentiments de pitié et de peur. Une tragédie se compose de six éléments, qui sont respectivement la fable ou intrigue de la pièce, les personnages , la diction, la pensée, le spectacle, et enfin la mélodie car le spectacle tragique était accompagné de musique.La fableLa fable, ou intrigue, est la combinaison logique des péripéties de l’histoire représentée dans la pièce. Si l’intrigue est bien construite, on ne doit pas pouvoir en retrancher une seule péripétie sans détruire la cohérence de l’ensemble. Il n’y entre donc aucun incident inutile à l’action. La fable est la partie la plus importante, car selon Aristote, une tragédie représente des actions, non des personnages les personnages sont là pour servir l’action, et non l’inverse. Trois éléments distincts composent la fable la péripétie au sens strict, lorsque l’on passe d’une situation à son opposé par exemple, quand un personnage socialement puissant déchoit et devient misérable ; la reconnaissance, ou passage de l’ignorance à la connaissance par exemple, Œdipe apprenant que la reine Jocaste, qu’il a épousée, est en fait sa mère ; la catastrophe, qui est une action destructive et douloureuse Œdipe se crevant les yeux et s’en allant comme un mendiant, après avoir appris l’horreur de son destin.Enfin, selon le philosophe, la fable doit être assez élaborée. En France, au XVIIe siècle, Corneille suivra ce précepte, alors que Racine, au contraire, cherchera à simplifier ses personnagesLe protagoniste, ou personnage principal, doit être plutôt du côté du bien, ou du moins occuper une position intermédiaire entre le bien et le mal; son malheur doit être provoqué par une erreur de jugement plutôt que par un vice foncier. Ce point particulier était très important pour Racine, qui précise dans la préface de Phèdre qu’il a pris soin de ne pas donner à son héroïne les traits monstrueux que les versions précédentes lui avaient conférés, de manière à rendre son malheur plus l’ensemble, les personnages d’une tragédie doivent être représentés d’une manière appropriée et réaliste. Ils doivent enfin conserver une unité psychologique d’un bout à l’autre de la pièce. Il importe que leurs actions apparaissent comme les conséquences logiques de leur règles de la tragédie classique en FrancePoétique fut, comme nous l’avons dit, maintes fois traduite et commentée pendant la Renaissance. Un commentateur du XVIe siècle, Scaliger, en déduisit certaines règles qui allaient être appliquées au siècle suivant Scaliger est à l’origine, notamment, des fameuses unités » de temps, de lieu et d’action. Aristote ne mentionne que les unités de temps et d’action; l’unité de lieu fut proposée et développée au XVIe trois unitésVers 1630, un débat fait rage dans les milieux du théâtre en France les partisans de l’application rigoureuse des unités s’opposent aux auteurs qui défendent au contraire une application plus souple, voire une complète liberté décomposition. Vers 1640, les trois unités finissent par s’imposer elles correspondent, pense-t-on, aux préceptes du goût, de la maîtrise artistique et de la raison. Contemporaine du Discours de la méthode, de Descartes, cette victoire des unités marque le commencement du classicisme, vision d’un art dominé par la raison, et qui culminera sous le règne de Louis brièvement en quoi ces trois unités consistent l’unité d’action implique qu’il n’y ait qu’une seule intrigue principale dans la pièce ; l’unité de temps implique que l’action de la pièce se déroule dans la limite de vingt-quatre heures ; enfin, l’unité de lieu, la plus controversée, ne se trouvait pas chez Aristote, et n’a jamais été très clairement définie. Pour certains, le lieu unique » où doit se dérouler l’action de la pièce est tout l’espace que peut embrasser le regard ; chez Racine, ce lieu unique est plus circonscrit c’est l’intérieur d’un appartement, dans un palais, ou bien une unités cadre artificiel ou idéal ?De nombreux auteurs et théoriciens se sont posé cette question, dès le XVIIe siècle. Dans ses Trois Discours, où il réfléchit sur l’art dramatique, Corneille avoue qu’il n’a jamais été très à l’aise avec les règles des unités. L’unité d’action aide sans doute l’intrigue de la pièce à demeurer claire et cohérente, mais elle limite l’audace et l’imagination. Corneille lui-même aimait les pièces qu’il appelait implexes », c’est-à-dire chargées d’événements, et dotées d’une intrigue compliquée, pleine de rebondissements ; à l’unité d’action, il préférait l’unité de péril, c’est-à-dire l’existence d’un danger unique qui relie les composantes de l’action. L’unité de temps contraint parfois les auteurs à l’invraisemblance on cite toujours l’exemple du Cid. Pour respecter l’unité de temps, Corneille impose à son héros une journée d’enfer, comme on dirait aujourd’hui! Rodrigue doit se battre deux fois en duel, mener une armée à l’assaut contre les Maures, avoir des entrevues tendues et pathétiques à l’extrême avec son père, son roi et la femme qu’il aime, et tout cela en moins de vingt-quatre heures ! Quant à l’unité de lieu, c’est celle que les romantiques, comme Victor Hugo, ont dénoncée avec le plus de véhémence, car elle contraint les auteurs à des arrangements absurdes comment admettre que les conspirateurs, par exemple, viennent comploter dans la salle même où se trouve le trône du tyran à abattre ?De nos jours, nous aurions donc tendance à donner raison à Molière, qui ne voyait dans ces règles que pédanterie et snobisme de la part des intellectuels de l’époque. La seule règle, déclare-t-il dans sa Critique de l’Ecole des femmes, c’est de l’objectivité oblige à reconnaître que, chez certains auteurs, Racine le premier, l’application intelligente des trois unités a magnifiquement servi l’art de la tragédie, et du théâtre en général. Comment ? Prenons l’unité d’action. Contrairement à Corneille, Racine écrit une pièce à partir de presque rien », il aime réduire l’intrigue au minimum. La tragédie racinienne, en effet, est économe et concentrée elle est tout entière focalisée sur une crise », qui peut logiquement éclater et se résoudre en quelques heures ; mais ces quelques heures suffisent à décider de toute une vie, de toute une de cette intrigue réduite à un paroxysme critique, l’unité de temps apparaît tout à fait naturelle, de même que l’unité de lieu, car cette crise n’a pas besoin de beaucoup de temps ni d’espace pour se dérouler. C’est donc une esthétique de la concentration extrême le temps de la crise est bref mais riche en tension émotionnelle ; le lieu tragique, par son exiguïté même, devient un lieu théâtral parfait car c’est un carrefour de forces qui s’affrontent, en une lutte puissante et fatale. Cette unité de lieu peut également mettre en valeur l’importance symbolique d’un endroit particulier, comme le Temple de Jérusalem dans Athalie. Dans cette tragédie biblique, ce temple, demeure du Dieu d’Israël, fonctionne comme le cœur à la fois historique et religieux de tout le royaume. II est donc habile de la part de Racine d’en faire le centre nerveux de la pièce Oui, je viens dans son temple adorer l’Éternel », déclare Abner, dès le premier vers de la règle des trois unités a donc fourni à Racine un cadre idéal pour sa vision personnelle de la tragédie pour lui, en effet, c’est dans le cœur des personnages, et non dans les péripéties extérieures, que réside l’essence du tragique. Racine nous montre la fatalité destructrice des passions, telle que la volonté de puissance dans Athalie, ou la jalousie dans Phèdre, qui amène les héros tragiques à leur ruine. C’est sans doute grâce aux règles, et non pas malgré elles, que Racine atteint à la perfection de la tragédie. Mais les trois unités ne sont pas les seules règles il s’y ajoute les bienséances et le bienséancesLe mot bienséances » désignait, au XVIIe siècle, un ensemble de règles tacites qui avaient pour objectif de ne choquer le public ni sur le plan moral ni sur le plan esthétique. La première de toutes les bienséances pourrait constituer une quatrième unité il s’agirait de l’unité de ton, qui veut que l’on ne mélange pas les genres. L’univers de la tragédie doit toujours s’exprimer d’une manière noble et conforme à son rang, même si c’est pour dévoiler un caractère odieux. Chez Racine, Néron lui-même n’oublie pas les bonnes manières. C’est ainsi que l’on évite toute référence trop claire aux fonctions biologiques et à la classiques pratiquent également l’art de la litote, qui consiste à dire moins que l’on ne pense. Lorsque Chimène dit à Rodrigue Va, je ne te hais point » acte III, scène 4, elle veut dire qu’elle l’aime passionnément. Mais il eut été malséant de lui faire faire une déclaration enflammée. En général, les bienséances consistent à ne pas choquer le goût ni les préjugés du public. Les personnages doivent être présentés tels que le public les imagine, même si cela revient à flatter les idées toutes faites que les Français de l’époque pouvaient avoir sur d’autres peuples. Un théoricien dramatique, La Mesnardière, écrivait, dans les années 1630, qu’un auteur ne devait jamais faire un subtil d’un Allemand ou un modeste d’un Espagnol ! »La vraisemblance Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable », dit très justement Boileau. La tragédie, pour avoir sur le public l’effet recherché qui est de lui inspirer pitié et peur, doit offrir aux spectateurs une histoire crédible, qui pourrait avoir lieu en réalité. Mais cela ne suffit pas non seulement on doit bannir de l’intrigue des éléments fantastiques ou impossibles, mais l’on doit même éviter de présenter des situations qui, bien que théoriquement possibles dans la vie réelle, sont trop rares et extraordinaires. Il faut, en d’autres termes, que le public puisse s’identifier aux personnages et se reconnaître dans les situations qu’ils vivent. Il faut donc que ces événements apparaissent non seulement possibles, mais probables, courants. La vraisemblance, comme les unités, n’est donc pas une règle totalement artificielle elle sert esthétiquement le but même de la tragédie, qui est, selon Aristote, de provoquer compassion et terreur chez les spectateurs. Une histoire invraisemblable, précisément, ne saurait provoquer de tels tragédie peut-elle avoir une fin heureuse ?Aristote insistait sur l’importance de la catastrophe » finale. A l’époque de Shakespeare, en Angleterre, on définissait la tragédie comme l’histoire de la chute d’un personnage illustre, qui passe de la prospérité au malheur, et finit misérablement. Enfin, dans le langage courant, le mot tragédie est teinté de pessimisme on qualifie de tragiques des événements terribles, tels que des guerres, des massacres, des désastres naturels…L’idée d’une tragédie qui se terminerait bien semble donc, à première vue, contradictoire. On se souvient qu’au début du XVIIe siècle existait un genre théâtral appelé tragi-comédie ce genre de pièces n’était pas un mélange de tragique et de comique, mais une tragédie à fin heureuse. Il avait donc paru nécessaire de créer un mot différent pour désigner ce genre pourtant, Corneille et Racine oseront, sur ce point, contredire Aristote et l’opinion traditionnelle. En effet, si la fin catastrophique était une condition absolue, une pièce telle que Cinna ne pourrait être classée comme tragédie. Dans cette pièce, Corneille s’inspire d’un épisode de l’histoire romaine l’empereur Auguste découvre que Cinna, qu’il aimait et protégeait comme un fils, a dirigé un complot visant à l’assassiner. Cinna, un peu comme Rodrigue dans Le Cid, agissait surtout par amour la femme qu’il aimait, Emilie, dont le père avait été exécuté sur l’ordre d’Auguste pour des raisons politiques, avait chargé Cinna de sa vengeance. On attendrait donc, après que la conspiration est dévoilée, un châtiment exemplaire tombant sur les amants. Mais c’est la clémence d’Auguste, et non son courroux, qui se manifeste à la fin de la pièce. Dans un noble monologue, l’empereur annonce son intention de pardonner Je suis maître de moi comme de l’univers. Je le suis, je veux l’être. Ô siècles, ô mémoire, Conservez à jamais ma dernière victoire ! Je triomphe aujourd’hui du plus juste courroux De qui le souvenir peut aller jusqu’à vous. Soyons amis, Cinna, c’est moi qui t’en convie…Cela nous rappelle que la morale de Corneille est profondément optimiste. Pour lui, qui insiste tant, dans ses pièces, sur le contraste entre les héros et les médiocres, l’individu supérieur peut dominer ses passions, et par là son destin, échappant ainsi à l’engrenage catastrophique de la si la fin malheureuse n’est pas indispensable, qu’est-ce qui différencie la tragédie cornélienne d’autres genres dramatiques ? Peut-on encore l’appeler tragédie ? C’est la grandeur héroïque, pour Corneille, qui est la base du tragique. L’essentiel est de voir le héros aux prises avec les forces de l’adversité ; c’est ce combat, et non pas l’issue heureuse ou malheureuse, qui constitue l’essence du tragique. Corneille remplace volontiers le malheur par le sublime. Ainsi de la réplique du vieil Horace à qui l’on demande Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ? Qu’il mourût.Horace, III, 6.Le sublime, plus que le malheur, est chez Corneille l’essence du est en accord avec Corneille, même si sa vision de l’humanité est très différente. Contrairement à Corneille, il montre les humains impuissants contre leurs passions et contre le destin, mais insiste sur la noblesse et la grandeur des héros tragiques. Nul besoin de sang ni de mort violente, explique-t-il dans la préface de Bérénice. Il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs soient héroïques, que les passions y soient excitées, pour provoquer cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. »La tragédie après le XVIIe siècleSi l’on se limite à la France , il est certain que la mort de Louis XIV, en 1715, sonne le glas de la tragédie classique. Même si l’on continue d’écrire des tragédies, le genre ne retrouvera jamais l’éclat que lui ont donné Corneille et Racine. Qui lit encore les nombreuses tragédies en vers composées par Voltaire ? Et pourtant, l’auteur de Candide et de Zadig rêvait de passer à la postérité comme digne successeur de Racine, et non comme auteur de contes philosophiques. C’est que le climat social, depuis la Régence, n’était plus propice à la tragédie cette dernière, en effet, ne peut s’épanouir qu’au sein d’une culture qui croit au destin, et voue un culte à la grandeur héroïque. Un climat comme celui du XVIIIe siècle, qui voit la décadence irrémédiable de l’aristocratie, et le développement d’une littérature satirique, ironique, contestant les valeurs établies, allait à l’encontre de la la tragédie, dans sa forme classique, ne pouvait-elle exister que dans une société dominée par les valeurs aristocratiques honneur, gloire, absolutisme moral. Or, au XVIIe siècle, ces valeurs périclitent avec la montée en puissance de la bourgeoisie. Cette nouvelle classe dominante aspire à un théâtre plus proche de son univers social et moral. Aussi voit-on apparaître, au milieu du XVIIe siècle, un genre nouveau, le drame bourgeois. Enfin, si la tragédie est de plus en plus absente de la scène, c’est aussi parce que, après 1789 il n’est plus besoin d’aller au théâtre la tragédie, avec ses ingrédients de catastrophes, de crises, de passions héroïques se trouve dans l’Histoire elle-même. Quelle plus belle tragédie que le destin de Robespierre ? Quant à Napoléon, qui s’étonnera qu’il ait eu de l’admiration pour Corneille ?Les romantiques, auront de nouvelles raisons surtout esthétiques, de vouloir en finir avec la tragédie classique et ses règles. Au XXe siècle, un nombre important de pièces, si elles ne suivent plus les règles de la tragédie classique, comportent néanmoins des éléments tragiques. Certaines reprennent des sujets de la tragédie grecque antique Antigone, de Jean Anouilh, et La Machine infernale, de Jean Cocteau. On trouve aussi du tragique dans les pièces de Henry de Montherlant notamment dans ses pièces espagnoles », telles que Le Maître de Santiago ou Le Cardinal d’Espagne, ou se manifestent ces attitudes nobles et altières dans le malheur, qui sont communément attribuées au caractère le théâtre de l’absurde » des années cinquante pourrait lui aussi être considéré comme une forme particulière de la tragédie, mais il s’agirait alors d’un tragique différent, autant par la philosophie que par le style, qui pour dire le moins, n’est pas toujours empreint de noblesse ni de bienséance » ! Le tragique, de nos jours, est tout aussi présent qu’au XVIIe siècle, mais il sort de plus en plus des cadres du théâtre.→ À lire Le théâtre de l’ littéraires Le roman La poésie 🔴 Le théâtre La fable Autres genres littérairesArticles connexes Le genre dramatique. La tragédie lyrique. Le drame bourgeois. La comédie. – La comédie classique en France. Le théâtre de l’absurde. Les figures de style. La littérature. 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Le musulman est convaincu que Dieu est le seul Maître Créateur et Gouverneur de l'univers. II n'a pas d'autre associé. II est vrai que la croyance est un don divin mais le témoignage de la Tradition et la logique peuvent l'engendrer. Les preuves de la Tradition1 - Dieu, lui-Même, nous a fait savoir Sa qualité de Maître et de Créateur de l'univers. Il se loue en ces termes Loué soit Dieu, Maître de l'univers! Dis, qui est le Seigneur des mondes? Réponds C'est ALLAH! 13 - Le Tonnerre- 16 - II est le Maître des cieux, de la terre et de ce qui est entre eux, si vous y croyez. Point de Dieu à part Lui. II donne la vie et la mort. II est votre Maître et celui de vos ancêtres. 45 - La Fumée- 8 Rappelant l'engagement donné par les fils d'Adam, alors même qu'ils se trouvaient dans l'épine dorsale de leurs pères, de croire en LUI, de Luiconsacrer toute leur dévotion et de ne jamais Lui adjoindre d'associé, il ditRappelle-leur, lors ton Seigneur a tiré des reins des fils d'Adam leurs descendances et les a fait témoigner vis-à-vis d'eux-mêmes en leur disant "Nesuis-je pas votre Seigneur à quoi ils répondirent "Si! Nous l'attestons!". 7 - El Araf- 1721 Pour confondre les polythéistes et leurs donner les preuves formelles afin qu'ils ne trouvent aucune échappatoire Il dit Dis-leur; Qui est le Maître des sept cieux et du grand Trône? Ils diront Mais c'est Dieu! Réponds-leur Ne le craindrez-vous pas? 23- Les Croyants-86 2 - Messagers et Prophètes avaient annoncé témoigne et reconnu qu'Allah est le Seigneur Adam, par exemple, L'avait imploré en disant Seigneur! Nous nous sommes nui à nous-mêmes. Si Tu ne nous pardonnes pas et ne nous accordes pas Ta miséricorde, nous serons perdus! 7-El- Araf-23 Noé, dans sa plainte adressée à Dieu s'exprima ainsi Seigneur ils m'ont désobéi. Ils ont suivi ceux dont la richesse et les enfants ne font qu'accroître leur perte. II dit encore Seigneur! Mon peuple m'a traité de menteur. Décide entre nous. Sauve-moi et les croyants qui sont avec moi. 21 - Les Poètes - 118 Abraham implore Dieu en faveur de la Mecque, lieu saint d'Allah, en sa propre faveur et pour sa descendance. Il dit Seigneur! Accorde la paix à cette cité et préserve-moi ainsi que mes enfants d'adorer les idoles. 14 - Abraham - 35 De même, Joseph remercie Dieu en ces termes Seigneur! Tu m'as donné du pouvoir et m'as appris à interpréter les songes. ش Créateur des cieux et de la terre, tu es mon Protecteur dans ce monde ici-bas et dans l'autre. Fais qu'a ma mort je sois résigné à Ta volonté que je sois rangé dans le groupe des saints. Moïse dans une de ses prières L'invoqua ainsi - Seigneur! ةlargie ma poitrine, facilite ma tâche, délie ma langue pour être mieux compris. Renforce-moi par un membre de ma famille. 20 -Taha- 28 Aaron dit aux fils d'Israël Votre Seigneur est le Clément. Suivez-moi et obéissez! 20 -Taha- 90' En demandant Sa miséricorde Zacharie dit - Seigneur! mes forces déclinent et mes cheveux blanchissent. Je ne t'ai jamais adressé une prière que tu n'aies exaucée 19, Marie 4 Et en l'implorant il dit Seigneur, ne me laisse pas sans descendance, bien que tu sois le plus désirable des héritiers. 21, Us Prophètes, 89 En répondant à Allah, Jésus avait dit - je ne leur ai dit que ce que tu m'as ordonné de leur dire "Adorez Dieu, mon Seigneur et le vôtre" 5, La Table, 117 S'adressant à son peuple, Jésus dit Fils D'Israël, adorez Dieu mon Seigneur et le vôtre. Quiconque LUI attribue un associé se verra interdire l'accès du Paradis. Sa demeure sera la géhenne. Aucun secours ne sera accordé aux injustes. 5 - La Table servie- 72 Notre Prophète Mohammed SA sur lui disait à ses moments difficiles - Il n'y a de Dieu qu'Allah, Le Grand et le Clément. - Il n'y a de Dieu qu'Allah, le Seigneur du grand Trône. - Il n'y a de Dieu qu'Allah, Seigneur des cieux, de la terre et du Trône illustre. Muslim Tous ces Prophètes considérés comme les plus sages, les plus honnêtes et les plus savants des humains avaient reconnu que le Seigneur et le Créateur est Dieu ; et tout en étant les meilleurs à connaître Ses Attributs, ils l'ont implorés par cette qualité de Seigneur et Créateur. 3 - Un nombre important de savants et de sages ont eu la foi en Dieu et L'ont considéré comme le Seigneur de l'Univers et le Maître de tout. 4 - Un nombre illimité d'hommes sages et vertueux ont cru aussi en Lui en tant que Seigneur de toutes les créatures. Confirmation par la Logique Comme preuves saines et logiques, nous pouvons citer les suivantes 1 - Il est le seul Créateur. Nul n'ignore qu'une personne autre que Dieu, n'a prétendu ou pu créer, même une chose si infime soit-elle, tel un poil dans un corps humain ou animal, une minuscule plume dans l'aile d'un oiseau ou une feuille d'un rameau oscillant, à plus forte raison, un corps vivant ou un corps céleste, grand ou petit. Ce pouvoir est mentionné dans le Coran quand Dieu, le Béni, le Très-Haut dit De Lui procède la création et le commandement. Béni, soit Allah, Dieu de l'univers. 7 - El-Araf - 54 Il vous a créés, vous et ce que vous faites. 37 - Les rangés - 95 Comme Créateur, Il a fait son propre éloge en ces termes - Louange à Dieu qui a créé les cieux et la terre et qui a engendré les ténèbres et la lumière. 6 - les Troupeaux - 1 - C'est Lui qui donne un début à la création, puis la renouvellera. Cela Lui est facile. L'exemple le plus sublime Lui appartient dans les cieux et sur la terre. Il est le Puissant, le Sage. 30 - Les romains -27 Ainsi, sa qualité de créateur, prouve son existence et Sa divinité. 2 - Il est le seul pourvoyeur. Il n'y a point d'animal sur terre, ou dans l'eau, ou dans les entrailles de sa mère, auquel Dieu ne pourvoie, à qui Il ne donne l'instinct de trouver sa nourriture et la possibilité de s'en saisir et d'en profiter. Tous les êtres, sans exception, de la créature la plus minuscule, comme la fourmi, à la plus parfaite, c'est-à-dire l'homme, existent, sont formés et subsistent grâce à Dieu. Dieu seul, crée, forme et nourrit. Cette vérité est profondément confirmée dans les versets suivants Que l'homme considère sa nourriture. Nous avons versé abondamment l'eau, Nous avons fendu profondément le soi, Nous avons fait pousser graines, vignes, légumes, oliviers, palmiers, jardins touffus, fruits et pâturage. 80 Il s'est renfrogné- 24,31 Il dit aussi Il a fait descendre du ciel de l'eau, avec laquelle Nous faisons germer toutes sortes de plantes. Mangez et faites paître vos troupeaux. 20 -Taha- 54 Il dit également Nous avons fait descendre du ciel de l'eau pour vous abreuver, eau que vous êtes incapables de garder. 15 -El-hijr-22 Il annonce qu'Il est le seul Pourvoyeur Il n'y a point de bête sur terre à laquelle Dieu n'assure sa subsistance et dont Il ne connaisse le gîte et l'endroit où elle se repose. 11 - Houd - 6 . Si, sans contredit, il s'avère que nul ne pourvoit, sauf Lui, cela prouve qu'Il est le régisseur de toutes Ses créatures. 3 - L'homme qui n'a pas été corrompu par la société, est témoin de la divinité d'Allah et il la proclame solennellement, car, tout homme dont la nature est restée saine, sent au fond de lui-même sa faiblesse et son impuissance, vis-à-vis de Dieu, Celui qui détient le pouvoir et la puissance, qui fixe sa destinée et administre ses actes Il proclame, très haut, sans hésiter, qu'Allah est son Dieu et Celui de toutes les créatures. Cette vérité, admise sans contestation par tout esprit sain, est confirmée par les aveux que le Coran arrachait aux idolâtres les plus obstinés quand il dit - Si tu leur demandes - Qui a créé les cieux et la terre? Ils répondront Le Tout Puissant les a créés, celui qui sait tout » Si tu leur demandes Qui a créé les cieux et la terre, assujetti le soleil et la lune? Ils répondront C'est Dieu! Dis Qui est le Seigneur des sept cieux et du Trône immense? Ils diront C'est Dieu! 4 - Le fait de posséder, de disposer librement de ses créatures, est une preuve de la divinité d'Allah. Il est admis que l'homme, aussi bien que tous les êtres vivants, ne possèdent rien en réalité. L'homme ne vient-il pas au monde nu comme un ver? Ne le quitte-t-il pas démuni de tout, sauf d'un linceul qui l'enveloppe? Comment dire qu'il possède quelque choses? L'homme est la créature la plus noble. Mais si celui-ci ne possède rien. Qui possède tout? Il n'y a pas de doute que c'est Dieu le vrai possesseur! Ce qu'on dit de la possession s'applique également à la disposition des créatures et de leur administrateur. Aussi, Dieu est-il le Créateur, le pourvoyeur, le possesseur et l'Administrateur. Tels sont quelques-uns de Ses Attributs. Dans passé, les plus obstinés idolâtres avaient reconnu ces attributs et le Coran avait enregistré leurs témoignages dans maintes sourates. versets On y litDis - Qui vous Procure de la nourriture du ciel et de la terre? Qui dispose de l'ouïe et de la vue? Qui fait sortir le vivant du mort? Qui fait sortir le mort du vivant? Qui dirige toutes choses? Ils répondront C'est Dieu! Dis "Qu'attendez-vous pour le craindre" Tel est Dieu votre Seigneur! Qu'y a-t-il en dehors de la vérité, sinon l'égarement! Lesfamiliariser avec les genres littéraires ne peut que faciliter leur entrée dans la grande littérature classique qui sera étudiée au collège puis au lycée. J’étudie la littérature en français, en anglais et en tahitien. Je sélectionne donc un ouvrage dans chaque langue que nous étudions en classe pendant toute une période. Accueil FAQ Forum Chat Nous sommes actuellement le 26 Août 2022, 1813 Messages sans réponse Sujets actifs Débat 29 l'Apocalypse Auteur Message Napoléon Sujet du message Débat 29 l'ApocalypsePublié 27 Mai 2010, 2041 Empereur du chat Inscription 12 Août 2008, 2257Messages 1895 Oui, il faut que je remette la main sur les logs du débat précédent . Spoiler _________________Da funky emperor ! Haut Qui est en ligne ? Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur inscrit et 2 invités Vous ne pouvez pas publier de nouveaux sujets dans ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumVous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forumVous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forumVous ne pouvez pas transférer de pièces jointes dans ce forum © 2008-2015 Encyclopédie du Paranormal Créé via PmWiki Chapitre1 - Lucie — C’est ma vie, c’est mon corps, c’est mon histoire et je vais le garder. — Chérie, tu as tout juste 16 ans. Tu n’imagines pas ce que c’est d’avoir un enfant à ton âge et de l’élever. Et tes études, comment feras-tu avec un enfant. — M’en fous, je le garde, même s’il m’en coûte. — C’est d’abord à nous qu’il va coûter, vu que tu es Cinna, de Pierre Corneille 1606-1684, d'où provient cette phrase, est une tragédie à sujet romain qui finit bien. Le sujet en est la clémence d'Auguste sous-titre de la pièce qui, s'appliquant aux conjurés Cinna, Emilie, Maxime, provoque un revirement de la situation et convertit ceux-ci à la cause impériale. Composée en 1641 et jouée en 1642 au Théâtre du Marais, cette pièce a pour ambition d'explorer la complexité humaine d'un thème mainte fois discuté dans les traités de philosophie politique de l'époque le thème du tyrannicide. Le prince, face aux conspirateurs, doit-il châtier les coupables selon la stricte justice que réclame la raison d'Etat ou, au contraire, doit-il renoncer à son devoir en faisant preuve de générosité»? vis de la communauté à laquelle il se rattache et qu'il prétend Horace, parce qu'il affronte ses beaux-frères et sa soeur Camille qu'il tue, est amené à rompre les liens dusang, d'amour, d'amitié établis avec ses proches et, du même coup, contestant son appartenance antérieure à lacommunauté familiale qui est la sienne, en vient à se situer délibérément hors de l'ordre commun» acte II, scène3, v. 436.Rodrigue, auparavant dans Le Cid ne craignait pas d'enfreindre l'ordre établi en prenant l'initiative d'un duel,pratique prohibée par la volonté royale, ou encore en repoussant les Mores sans même prendre l'avis du de l'honneur familial, il n'hésitait pas à sacrifier, finalement, son amitié pour le Comte, même s'il pensaitdevoir renoncer à est remarquable que ce soit précisément cette démesure qui vaut au héros l'éloge du roi, pour autant, il est vrai,que le succès qui en résulte soit employé à défendre les intérêts supérieurs de l'Etat. Ainsi, Don Fernand, dans LeCid, le déclare Tous ceux que ce devoir à mon service engageNe s'en acquittent pas avec même courage;Et lorsque la valeur ne va point dans l'excès,Elle ne produit point de si rares succès. »acte IV, scène 3, v. 237-240 Horace se verra confier par le roi Tulle le même rôle de soutien de l'Etat que Don Fernand avait dévolu à RodrigueDe pareils serviteurs sont les forces des rois, Et de pareils aussi sont au-dessus des lois. »acte V, scène 3, v. 1753-1754 En vertu de ce statut d'exception, le héros, reconnu comme généreux», s'affranchit de la juridiction commune. Etsi, comme Horace, il lui arrive occasionnellement de dégénérer» par le meurtre de Camille, c'est-à-dire de cesserd'être généreux», il est rétabli dans ses droits grâce à la raison d'Etat, comme l'explique le roi Tulle Ta vertu met ta gloire au-dessus de ton crime; Sa chaleur généreuse a produit ton forfait; D'une cause si belle ilfaut souffrir d'effet. »acte V, scène 3, v. 1760-1762 Auguste n'est pas seulement un roi-justicier, comme le sont Fernand et Tulle, il est un héros devenu roi, ou, plutôt,empereur. Ce roi-héros a su conquérir jusqu'alors son pouvoir, comme il le rappelle, au péril de sa vie, ce qui signifiequ'il a su mettre en pratique la seule règle de conduite qui s'impose le Meurs ou tue», commandement premier del'éthique héroïque, à en croire Don Diègue, dans Le l'occurrence, Auguste s'y réfère tout perdre ou mourir», acte IV, scène 2, v. 1176 à savoir perdre lesconspirateurs en les faisant mourir, ou alors se perdre soi-même en mourant. En effet, la conspiration est un crimede lèse-majesté, un acte qui relève de la raison d'Etat et donc passible de la mort. Or Auguste, au terme d'uneviolente crise intime, s'affranchit entièrement de cette alternative héroïque mourir ou tuer en décidant de fairegrâce aux conjurés. Il abolit » le crime; l'abolition, plus qu'un acquittement ou une amnistie, annule, effacetotalement de la mémoire, le souvenir du forfait. Auguste veut oublier», ce sera le dernier mot qu'il prononce dansla pièce Et que vos conjurés entendent publier Qu'Auguste a tout appris et veut tout oublier. »acte V, scène 3, v. 1779-1780 Agissant de la sorte, il se prévaut d'obtenir une dernière victoire» alors que, se soustrayant à son devoirde souverain punir au nom de la raison d'Etat, il paraît faire preuve de faiblesse. Mesure sans précédent, qu'onpourrait, aussi bien, comme le pensait Napoléon, attribuer au calcul politique. Considérant que, quand elle n'estpoint appuyée par la politique», la clémence est une si pauvre petite vertu», Napoléon précise ...je compris que cette action n'était que la feinte d'un tyran, et j'ai approuvé comme calcul ce qui me semblaitpuéril comme sentiment. »Mémoires de Mme de Rémusat Mais s'il en était ainsi, cette mesure de clémence serait inopérante sur Emilie et ses comparses qui, tous, sontgagnés, par une espèce de contagion de la générosité», au sacrifice consenti par clémence exprime la volonté d'Auguste de proscrire la vengeance, érigée jusqu'alors en principe de gouvernement. Au cours de la scène précédente acte V, scène 2. Emilie pouvait encore répliquer à Auguste, qui lui faisaitgrief de son ingratitude, que lui-même ne s'était acquitté des bienfaits de Toranius, son père adoptif, qu'enl'assassinant. Fille de Toranius, Emilie a donc suivi l'exemple d'Auguste, selon une parfaite réciprocité mimétique . »
Jesuis maître de moi comme de l'univers, Nous dit maître Corneille avec d'Auguste vers. Est-ce à mettre en exergue ou bien tout à la fin ? Car mettre ou ne pas mettre est débat cornélien. En ces temps très techniques où le mettre-étalon N'est plus que longueur d'onde issue du gaz krypton, Il faut mettre aux poubelles un platine
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Cest grâce au petit Nicko qu’un carton arriva chez moi avec à l’intérieur une bande de trompe la mort. Je pense qu’il est temps de renommer le site FulguroMotu ou MotuPop!. Aujourd’hui coinçons la bulle avec l’homme poisson des Maîtres de l’Univers avec Mer-Man le seigneur de guerre de Skeletor dans Filmation.Comme à chaque fois, je préfère la tête et la
Et Lui comme moi Je vais essayer ici de vous expliquer concrètement l’un des Mystères de l’ésotérisme et de la spiritualité en général, à savoir le mode de fonctionnement particulier de “l’Univers et des Dieux” comme on disait avant, ceci et dans un premier temps de cet article, faisant suite au Dossier sur le Kybalion et l’Art Alchimique de la création mentale. Créer tout ce dont nous avons besoin. Bien évidemment, il s’agit là de la vision d’un psychologue ésotériste, pas d’un ésotériste tout court qui, sans doute, trouverait à redire de mes propositions… Comme cela n’est pas gagné d’avance, attendu que le sujet est ardu et que les explications écrites ou parlées sont très pauvres pour témoigner des Lois Cosmiques, j’aurais donc besoin de votre aide à tous, cela en attendant de vous que vous posiez les bonnes questions qui me permettront de vous proposer les bonnes réponses, à la suite de cette introduction, de ce résumé de la Loi de Création spirituelle. Vous ne devrez pas lâcher l’affaire tant que vous n’aurez pas parfaitement compris, OK ? Pour commencer, je suis certain que vous avez tous entendu parler de la manière dont enseignait le Maître Jésus son Vrai Nom était “Iéshuah”, soit dit en passant à propos du pouvoir créateur de l’esprit. Il disait en substance “Lorsque vous demandez à Mon Père une chose, faites comme si vous l’aviez déjà reçue, et vous obtiendrez toutes choses en Mon Nom !” Aujourd’hui, nous dirions bien autrement, par exemple comme ceci “Lorsque vous devenez conscient que vous êtes le Grand “Je Suis”, que vous êtes la Conscience, que vous faites partie de Dieu et partagez la Même Essence que la Sienne, vous ne devez pas demander une chose mais affirmer que vous la possédez déjà….” Essayons de comprendre ces étonnants conseils “Faites comme si vous possédiez déjà….” et… “Remerciez Dieu pour ce qu’il vous a déjà donné….” par exemple Pourquoi devrions-nous agir de la sorte et prendre apparemment l’univers et les Dieux pour des cons, cela en faisant mine de posséder déjà…Ce dont nous manquons et avons besoin ? En effet, puisque nous désirons une chose, c’est bien la preuve que nous ne la possédons pas, la chose paraît être entendue ! Certes ! Elle est apparemment logique d’un point de vue humain, mais pas pour l’esprit universel, c’est à dire ce quelque chose capable de tout créer, de donner naissance à toutes choses sur notre ordre ! Oui, nous pouvons ordonner à l’esprit de rendre manifeste tout ce dont nous avons besoin ! Nous pouvons de ce fait non seulement ne manquer de rien mais, de plus, obtenir toutes ces choses dont nous rêvons sans cesse, cela quasiment à volonté et même en obtenir plus que ce qu’il nous faudrait pour satisfaire nos attentes les plus légitimes ! Le rêve, non ? Nous sommes bien d’accord sur ce point également. Bon, OK, mais alors, puisque notre esprit -qui est aussi ou surtout- l’esprit de Dieu, est si puissant, pourquoi nous n’obtenons que rarement ce que nous voulons et espérons ? Hum ? o_Ô Réponse Parce que nous nous y prenons comme des manches et, plus précisément, carrément à l’envers ! A l’envers ? Mais à l’envers de quoi ? En fait, à l’inverse de ce qu’il nous faudrait faire pour obtenir, justement, tout ce dont nous avons besoin. Je vous demande à présent de vous montrer très attentifs car je vais vous révéler en termes modernes le “secret spirituel” qui vous permettra de comprendre ce qu’il faut faire pour créer votre vie comme vous l’entendez, plutôt que d’arriver à le faire intuitivement et comme on vous l’aura appris. Ce que faisaient bien souvent les Mystiques du passé. Leur foi était immense mais leur compréhension limitée par un manque évident de développement mental. C’est la raison pour laquelle ils ne réussissaient que rarement à transmettre leurs connaissances à leurs disciples… Mais ceci est une autre histoire ! Voici les faits ******* Le subconscient de l’homme est en fait le Subconscient Universel ce qui concerne le mode de fonctionnement précis et définitif du subconscient humain, concerne également le mode de fonctionnement précis et définitif de celui de l’Univers. Comprendre l’un revient à comprendre l’Autre, maîtriser l’un revient à Maîtriser l’Autre car les deux ne sont en fait qu’une seule et même chose, comme la goutte d’eau de mer n’est pas séparée de l’étendue d’eau qu’elle compose et réciproquement. ******* Bon, OK, me direz-vous, ça a l’air bien joli, tout ça, mais ça nous avance à quoi ? Cela nous permet de comprendre le fonctionnement exact de l’Univers en étudiant celui de l’intelligence cellulaire du corps physique de l’homme ! Ce sont les mêmes lois qui sont en présence et toutes deux fonctionnement exactement de la même manière. A notre époque, nous connaissons suffisamment de choses sur le mode de fonctionnement de “la somme de l’intelligence de toutes les cellules de notre corps”, plus spécifiquement nommée “subconscient” De fait, nous ne sommes même pas conscients d’être des Maîtres de l’Univers en potentiel ! Il nous manquait juste la compréhension intellectuelle de cette connaissance sublime “L’univers et notre corps fonctionnent de la même façon car les deux forment, en réalité, une seule et même chose le Grand Corps De Dieu-Le-Tout !” Ou son subconscient, puisque c’est la même chose ! Ainsi et très véritablement, se connaître soi-même revient à connaître l’univers et les Dieux ! Bon, nous pouvons à présent avancer plus vite et étudier rapidement les deux premières Lois impliquées dans l’Art de la Création Mentale, Lois sans la compréhension desquelles il est impossible de créer en esprit et dans notre mental qui est aussi et surtout celui de Dieu, n’est-ce pas Voici l’énoncé pur et dur de l’une de ces deux Lois “L’esprit du Tout est à la fois rien et toutes choses. Il contient déjà et à l’état potentiel ou “en devenir”, tout ce que l’imagination de l’homme et des Dieux a pu, peut et pourra jamais imaginer. L’esprit universel contient déjà toutes les formes de réalités probables et se borne à les exprimer ou à les rendre manifestes, et non à les créer véritablement.” Voici l’énoncé pur et dur de la seconde de ces deux Lois “Le subconscient raisonne par déduction et associations d’idées et ne connait qu’un seul temps le présent. Tout ce que l’homme pense et tel que cela est pensé, est fidèlement enregistré comme Loi. Le subconscient mettra immédiatement tout en œuvre pour que cette loi-pensée puisse se concrétiser et être rendue manifeste dans le plan sur lequel se manifeste l’entité qui a invoqué la Loi de création par son esprit et dans son mental.” Imaginez que vous écrivez, sur une feuille de papier “Aujourd’hui, je me sens très con !” Ensuite vous placez ce mot écrit dans le tiroir d’une table de nuit et vous ne touchez plus à ce papier et son mot écrit dessus durant disons… Une bonne dizaine d’années. Au bout de dix ans, vous ouvrez enfin ce tiroir, découvrez le papier et lisez ce qu’il y a d’écrit dessus. Voici ma question Est-ce qu’il y aura mentionné que voici dix ans, vous pensiez être con ? Non, n’est-ce pas ? Le papier et son mot écrit dessus ne tiennent pas compte du temps qui passe il y aura écrit la même chose, au présent, que ce qu’il a été écrit, dix années plus tôt. De même, notre subconscient enregistre fidèlement tout ce que nous pensons et disons au présent et ne tient pas compte du temps qui passe, de l’expérience, du contexte, etc. Ce que vous avez pensé de vous et d’autrui jadis, il le pense désormais automatiquement et à votre place aujourd’hui, et toujours au présent, comme si rien n’avait changé ou évolué entre temps. Sachant que le subconscient raisonne par déduction et par associations d’idées et que pour lui, SEUL EXISTE UN ÉTERNEL PRÉSENT, si vous commettez l’erreur d’affirmer vos désirs “au futur” ce que vous voulez obtenir et ce dont vous manquez forcément encore aujourd’hui, le subconscient enregistrera au présent que vous manquez de tout ce que vous désirez par ailleurs et que c’est en ceci que consiste votre volonté et donc, la Loi Cosmique ! Vous saisissez le gros merdier ? en français dans le texte Sinon, laissez-moi vous “faire un dessin”, vous allez vite capter le problème ! Nous allons prendre pour exemple que vous désirez plus de fric, même si c’est rare venant de vous, OK, je vous l’accorde volontiers. Tout naturellement, vous allez formuler votre demande à peu près de la sorte “Je vais avoir plus de fric très bientôt !” Ou encore “J’ai besoin d’argent rapidement, donc, je vais en gagner !” Notez le temps employé conjugaison pour ces deux requêtes adressées à l’Intelligence Universelle, à l’esprit, c’est à dire au… Subconscient de Dieu qui manifeste toutes choses selon la Loi. Que va enregistrer l’esprit, en fait ? Dans le premier cas que… “Très bientôt….” Donc, dans trois mille ans, sur le “bout de papier”, il y aura toujours marqué que “Très bientôt…” vous serez riche ! Dans le second cas, l’esprit universel enregistre comme Loi absolue que “Vous avez besoin d’argent.” Et dans trois mille ans, votre volonté créatrice sera toujours respectée et vous en aurez donc toujours besoin, n’est-ce pas ! Vous captez un peu mieux, là ? Pour l’esprit, vous devez absolument obtenir “plus tard”, et vous devez “avoir besoin” le plus longtemps possible, ceci afin de respecter la Loi. Du coup; si vous obteniez ce que vous désirez et tout de suite, il y aurait violation de la Loi. Comprenez bien que votre subconscient et l’intelligence divine, savent tous deux en fait ils ne forment qu’Une seule chose, mais bon que selon la Loi “Tout existe déjà en esprit et ne demande qu’à être rendu manifeste…” Du coup, si vous affirmez qu’une chose va exister “plus tard” pour vous, non seulement vous retardez éternellement sa manifestation mais, de plus, vous réclamez de l’esprit universel une chose qui lui est impossible créer ce qui existe déjà ! Bon, OK, nous avons bien compris la subtilité mais, dans ce cas, comment doit-on “demander” ou “faire savoir à l’univers tout ce dont nous… Avons besoin” ? Sachant que si nous réclamons une chose, cela revient à affirmer que nous ne la possédons pas et que, de ce fait, elle n’existe pas encore. Car là se situe bien le “hic” ! Un gros, gros “hic”, même ! Le fait de demander ou d’exprimer un besoin quelconque revient à affirmer à l’univers que ce que nous désirons n’existe pas encore et que de ce fait, nous ne le possédons pas présentement ! On est à peine bloqué, là, non ? Ben oui, on l’est ! Nous voici avec un magnifique paradoxe sur les bras si nous disons qu’une chose nous manque et que nous voulons l’obtenir, l’esprit universel enregistre le fait que nous ne pouvons pas obtenir cette chose, puisqu’elle n’existe pas déjà actuellement ! D’un autre côté, affirmer de but en blanc que nous possédons une chose alors que nous savons pertinemment que nous la désirons justement parce que nous ne l’avons pas, revient à prendre l’Univers et les dieux pour des pastèques ! lol Alors que faire ? Que faire ? Mais fonctionner comme l’esprit ! Raisonner comme lui ! Retourner son mode de fonctionnement dans sa direction et lui intimer de ce fait d’agir “comme si” même s’il constate par ailleurs que nous ne possédons pas encore au niveau purement linéaire. Ce qui pour lui n’est pas un problème en soi, bien au contraire ! En gros, l’idée est de mettre l’esprit dans l’impossibilité de faire mentir sa propre Loi ! la Clef se situe au niveau du mode déductif de raisonnement de l’esprit universel. Ou de notre subconscient, c’est la même chose. Réfléchissons deux secondes… Puis-je en toute logique donner ce que je ne possède pas ? La réponse est évidente… Du moins pour nous ! Pour l’esprit, elle est l’inverse ! En effet, pour Lui, tout existe déjà ! Il est donc non seulement “possible” mais tout naturel, d’offrir par exemple ce qui existe déjà et depuis toujours pour nous et en esprit ! Vous captez l’idée ? Non ? Alors on va vous faire un dessin, allez ! De quoi ai-je besoin ? Une fois la chose désirée définie clairement, je vais me mettre à la donner aux autres, comme si non seulement je la possédais déjà ce qui est “légalement” le cas mais de plus, comme si vraiment j’en étais rempli jusqu’à la couenne du moins s’agit-il de “faire comme si”, n’est-ce pas ^^ Par exemple ? Allez, faisons péter les exemples, d’accord ! Je veux avoir la connaissance ? Alors je me mets maintenant à instruire les autres, à la transmettre comme si je la possédais ! ce qui est le cas, souvenez-vous tout est déjà là ! Plus je vais instruire, plus la connaissance va me venir ! Pourquoi ? Parce que l’esprit est obligé de me la fournir rapidement afin de ne pas faire mentir la Loi Cosmique qui dit que “Tout existe déjà, maintenant !” S’il ne me donne pas la Connaissance tandis que je la donne moi-même, alors c’est que cette connaissance est absente de l’esprit, qu’elle n’existe pas, même en potentiel. Ce qui reviendrait à faire mentir Dieu ! Alors moi qui ne savait rien, me voici à transmettre ce que je ne possédais pas le moment auparavant. Et instantanément, me voici “Instruit par Dieu afin de donner à mes frères” car… C’EST LA LOI ! Vous avez le droit d’être émerveillés et très émus, comme je le suis présentement moi-même, oui, merci bien. Voyons un autre exemple, pourquoi pas l’argent même si ce sujet n’intéresse généralement pas les spiritualiste ^^ Vous NE devez PAS “désirer de l’argent” ou “plus d’argent”, cela sous peine d’affirmer qu’il n’en existe pas assez pour vous “présentement.” Mais si vous l’affirmer tout de même, pour ne pas faire mentir la Loi -qui énonce que tout existe et doit déjà exister en esprit, même la connerie- le subconscient universel va satisfaire à votre demande et donne forme à votre désir du moment désirer de l’argent et en manquer toujours En somme, tout ce que vous affirmez, même sans le réaliser, fait Loi et sera rendu manifeste. Mais vous l’aviez déjà compris, n’est-ce pas ? Pour contourner le problème, vous devez agir “comme si” l’argent ne pouvait pas vous manquer, puisque vous êtes pétés de fric ! Après tout, n’êtes vous pas un Fils de Dieu, un Fils du Dieu Vivant ? Bible dixit C’est en effet le cas, je vous l’assure très affectueusement. Alors dépensez, donnez, faites comme si vous ne pouviez pas manquer d’argent ! Bien entendu, c’est surtout l’état d’esprit qui correspond à ce que je viens d’écrire, que vous devez installer en vous et auquel vous devrez désormais vous fier pour vivre ! Il ne s’agit pas de crâner, de dilapider votre argent et de vous cribler de dettes ! lol Vous devez juste conserver à l’avant scène de votre conscience de veille, un sentiment de richesse inépuisable. Vous buvez un café ? Lorsque le garçon vous rend la monnaie, laissez quelques pièces sur la table ou sur le comptoir. Ne craignez point, vous ne manquerez jamais de rien, sauf si VOUS LE RÉCLAMEZ à l’univers et par le biais d’un état d’esprit fondé sur le doute, la peur du manque et l’idée de pauvreté. C’est en fait à vous-mêmes que vous devez offrir le plus de choses ! Offrez-vous des idées de richesses ainsi que tous ces merveilleux sentiments qui vont avec. Car ce que vous pensez, vous le ressentez ensuite. Si vous pensez au manque, à la rareté, au fait qu’il n’y a pas assez de ceci ou de cela pour tous, alors c’est ce genre d’idée que vous allez ressentir et vous vivrez en conformité avec ces croyances moyenâgeuses. Vous n’avez pas à vous mentir ou à feindre l’opulence; il suffit que vous sachiez que, RÉELLEMENT, tout existe déjà en esprit et dans le mental de Dieu l’Univers Souvenez-vous de ça, affirmez-le, croyez-le et vivez en concordance avec ces nouvelles idées et ces nouvelles émotions. Car ce sont elles qui vont vous rendre riche ! Car ce sont elles qui, là, immédiatement, viennent de vous rendre instantanément riche. Vous le savez désormais Tout existe déjà en esprit et dans le mental de Dieu ou de l’esprit, c’est pareil. Offrez-vous sans compter car votre richesse n’a de limite que celle de l’esprit. Autrement dit… Aucune ! Offrez-vous tout ce qui a de la valeur. Offrez-vous l’amour en apprenant à vous aimer tels que vous êtes déjà Offrez-vous la paix, en cessant de vous faire la guerre à tout bout de champ et à la moindre occasion de pointer un doigt accusateur en direction de vos faiblesses. Offrez-vous la Joie, cela en comprenant que rien n’a vraiment d’importance, que rien n’existe vraiment dans un univers où tout peut être remodelé en esprit et mentalement. Offrez-vous Éros ! C’est à dire tous les plaisirs, et pas seulement ceux relatifs au sexe. Et parmi ces dernières, vous devez vous offrir cette sérénité et cette force tranquille qui découlent d’un sentiment de richesse permanent, aussi bien intérieur et spirituel, qu’extérieur et purement social. Réfléchissez bien Est-ce la quantité d’argent stockée sur votre compte en banque, qui fait de vous une personne riche, ou ce fait miraculeux de ne manquer jamais de rien et d’obtenir tout ce que vous désirez et qui est humainement réalisable ? Ne cherchez pas à faire sortir la lune de son orbite ! Mais attention ! Ne mettez pas Dieu au banc d’essai » et ne le testez jamais ! N’oubliez pas que le subconscient raisonne par déduction et par associations d’idées ! S’il réalise que vous testez la Loi pour vérifier si elle marche, il fera en sorte que vous soyez assuré de la vérifier pendant des lustres ! Agissez vraiment et dans les petites choses de la vie de tous les jours, COMME SI vous étiez assuré de ne jamais manquer de rien. Encore une fois, seul compte votre état d’esprit, pas vos actes à l’extérieur. Par exemple, donnez UN EURO vous n’en mourrez pas à un mendiant. Laissez des pourboires au restau, au bar, etc. N’hésitez pas à prêter de petites sommes sans vous soucier de leur remboursement futur, car si vous vous installez dans un état d’esprit d’attente de remboursement, en l’occurrence le subconscient en déduira que vous adorez ATTENDRE et pour vous y aider, il fera en sorte que vous ne soyez jamais remboursé ! lol Bref ! Faites comme si et… Savourez les résultats ! Je vous donne moins de trois semaines pour constater les effets sur vous état d’esprit et à l’extérieur et sur les autres. En fait, une semaine suffirait, mais bon, on va dire que notre foi est souvent vacillante, surtout au début ! Poursuivons gaiement, car le sujet va bien au-delà des simples mais nécessaires acquisitions matérielles, comme vous allez le constater en étudiant tranquillement la suite de cet article. Prenons un autre exemple encore le boulot. Nous avons tous connu ces périodes un brin décourageantes de recherche d’emploi. Et tandis que nous cherchions – et avant d’avoir trouvé – nous ne savions pas, avec certitude, SI nous allions trouver un emploi. Jusque là, rien de bien transcendant, je vous l’accorde d’alpiniste. Maintenant, compressons le temps et rendons-nous trois mois plus tard, à la date à laquelle nous avons enfin trouvé une entreprise qui a accepté de nous offrir un travail. Question Notre emploi vient-il d’être créé ou inventé par l’esprit universel au moment où nous le trouvons ? Non, n’est-ce pas ? Cet entreprise et cet emploi existaient déjà. Toutefois, comme nous ne savions rien de cet entreprise, ni son existence, ni même que nous allions pouvoir y être embauché, nous ne pouvions pas nous comporter comme si nous avions déjà ce boulot… Du moins, serions-nous tentés de présenter les choses ainsi… En réalité, au moment même où vous cherchiez du boulot, ce dernier non seulement existait déjà et pas seulement en esprit, heureusement pour lui mais de plus, votre poste était déjà réservée et n’attendait que…. Que quoi, au fait ? Réponse Que vous arrêtiez d’être con ! lol C’est l’Univers Lui-Même qui attend patiemment que vous retrouviez la Mémoire, que vous réalisiez enfin la Vérité. C’est à vous qu’il échoit de faire cesser ce jeu stupide qui consiste, pour l’homme, à faire semblant d’être distinct et séparé de tout et de tous. Vous êtes un Dieu qui fait semblant de pouvoir manquer de quelque chose ou de manquer une chose quelconque ! Au début, c’était follement amusant, c’est vrai, mais à présent, la plaisanterie doit s’arrêter et très vite ! Ne voyez-vous donc pas que le plus grand nombre commence déjà à croire en un tas de choses stupides et sans saveur ? A croire en la mort, la séparation, la souffrance, et le manque… A croire aussi en l’existence d’un Dieu jaloux et tyrannique qui jouit de voir ramper et s’humilier ses humbles sujets mais qui, comble de l’ironie, est infiniment moins puissant que son Adversaire, le Ténébreux Prince du Mal ? L’homme est devenu mou, moche et craintif à force de choisir la fuite plutôt que de se prendre en charge et à assumer son propre destin. Par peur de redevenir RESPONSABLE de ses créations mentales innombrables, l’homme s’est inexorablement coupé du reste de l’univers et des Dieux qui en gouvernent les Royaumes. Par peur d’affronter une vérité unique mais inconnue, l’être humain s’est inventé des vérités qui ressemblent étrangement à des barreaux posés au fenêtres d’une prison. Voilà de quoi se prive l’homme, en un mot De sa propre Divinité. Et pour se conforter dans l’idée hautement positive qu’il est un moins que rien, le voici qui choisit de travailler pour vivre, alors qu’il lui suffisait d’être, pour vivre et tout simplement. Il existe encore d’autres Lois et d’autres astuces liées à ce que nos modernes ténors du New-Âge nomme La Loi d’Attraction… Mais j’aimerais d’abord vous voir participer un peu à nos échanges, car il me serait pénible voire insupportable, de réaliser que je suis, de nous tous, le seul véritable riche disposé à DONNER ! Je crois me faire comprendre, car je parle et écrit avec cette assurance et cet aplomb qui ont fait la réputation des psychologues ésotéristes et qui leur vaut de n’avoir que rarement de nombreux amis ! sic A vos claviers braves gens ne vous contentez pas de lire, de venir piocher ça et là dans l’espoir immature de devenir instruit des choses de l’esprit, car c’est seulement si vous apprenez vous aussi à DONNER que vous pourrez alors être correctement préparés pour RECEVOIR. Pour “Re-Se-Voir” et donc, se voir de nouveau et se retrouver enfin… Serge RMlY.
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  • je suis maitre de moi comme de l univers