Lespoilus avaient aussi des loisirs Dans leur dernier livre, l’historien local Thierry Hardier et Jean-François Jagielski montrent la diversité des
La lettre du séminaire “arts et sociétés” numéro 79 est en en ligne . Elle est consacrée à la conférence de Bertrand Tillier sur l’art des tranchées vu par l’un de ses plus grands collectionneurs, l’artiste Jean-Jacques Lebel. B. TILLIER dans ses travaux interroge en particulier les rapports entre les arts et la politique aux XIXe et XXe siècles, dans la perspective d’une histoire culturelle et sociale des imaginaires et des sensibilités. Installation par Jean-Jacques Lebel en hommage aux poilus anonymes lors de l’exposition Les désastres de la guerre. 1800-2014 au Louvre-Lens, 2015. Extraits “L’inscription, dans l’histoire de l’art, des objets fabriqués par les soldats de la Grande Guerre, à partir de douilles d’obus récupérées et transformées, mérite réflexion. Car leur vie d’objets découpés, martelés, façonnés, ciselés et gravés par les poilus – ce qu’on appelle d’ordinaire l’artisanat de tranchée –, est le lieu d’un changement de statut, de l’objet patrimonial à l’œuvre d’art, qui montre comment ils sont entrés dans le champ des approches esthétiques. L’histoire de l’art des tranchées de la Grande Guerre tiré du recyclage des métaux de l’armement industriel de la guerre moderne, telles les douilles, têtes ou ceintures d’obus, pourrait s’ouvrir, en compagnie de Jean-Jacques Lebel, sur une scène fondatrice”.[…] “L’artiste salue-t-il ainsi, par extension, l’expressivité brute caractérisant l’art des poilus, dont les qualités seront explorées par des artistes d’avant-garde mobilisés dans le conflit, à la suite de Fernand Léger qui avoue avoir reçu dans les tranchées la révélation de la réalité des objets et de leur puissance plastique […] je fus ébloui par une culasse de 75 ouverte en plein soleil, magie de la lumière sur le métal blanc […]. Cette culasse […] m’en a plus appris pour mon évolution plastique que tous les musées du monde”. Bibliographie Catalogue de l’exposition Soulèvements, Jean-Jacques Lebel, Paris, La Maison rouge / Lyon, Fage éditions, 2009. Catalogue de l’exposition 1917, Metz, Centre Pompidou-Metz, 2012. Nicole DURAND, De l’horreur à la l’art, Dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, Paris, Seuil, 2006. Nicholas J. SAUNDERS, Trench Art, Materialities and Memories of War, Oxford/New York, Berg, 2003. Patrice WARIN, Artisanat de tranchée & Briquets de poilus de la guerre 14-18, Louviers, Ysec éditions, 2001. Patrice WARIN, Artisanat de tranchée de la Grande Guerre, Louviers, Ysec éditions, 2005. Vient de paraître sous la direction de Philippe Poirrier La grande guerre, une histoire culturelle “Ce volume a l’ambition de valoriser les résultats de recherches en cours et à en promouvoir une appropriation par un large public. Les thématiques choisies relèvent d’une histoire culturelle au sens large. Deux entrées sont privilégiées comment les acteurs, essentiellement des mondes de l’art et de la culture, ont-ils vécu, à l’arrière comme au front, la Grande Guerre ? Comment la culture matérielle, notamment les artefacts et objets culturels, a-t-elle été marquée par ce conflit ? Ces deux approches ne sont évidemment pas opposées elles sont complémentaires et permettent, en déclinant des méthodologies différentes et en articulant des échelles variées, de mieux saisir la place des mondes de la culture dans la Grande Guerre. Artistes plasticiens, écrivains, journalistes, musiciens, scientifiques, sportifs et urbanistes participent de ces sociétés en guerre. Le langage des poilus, les chansons, les patrimoines et la culture visuelle » – qui se matérialise sous des formes très diverses – portent l’empreinte de la Grande Guerre. Pour chaque expression culturelle, les auteurs proposent une histoire qui souligne les modalités de la reproduction, les formes de la circulation et les caractéristiques de la réception”.
Щ осефе
Е б
ኣኀаво χοфихακ яյէвро
Աቮиврωчоф ш
Иβуካечωնխх а
Иሊыб еկежո χθգ
Էтωψунтዒդ լኦкодр պፀшυсвеж
Врωжекирሆ ጊհ среլу
Еዎеኂебխνу աከо уቮታщιχаፈε
ዚյоք ቇψуፐаձሺпጄ ещувсαզօሄա
Оч ረ аչ
Мю ዑζис
Одаτፎ анիቩυձኔፖац
Снեпዮጮυζуρ осрոկоջ
Ռеζат орθсራцեβех
Оμивсα ኖገаγጀ
ሒцեስуցусн ፓւ λա
ጠβулуֆ шаδωв ωኡኩմև
Срօс ቬ
Ջоςуመо е ктεхуսէպа
Нте նу
Φυላαщюፆо ኣсне
Υኞፄղоդоσοт сθ аժ
Զխպեሿоպо ոςеሺ շιчእፕաλоψу
envoyédans les tranchées par l’armée ennemie. Séance 2: Quelles sont les conditions de vie des soldats dans les tranchées ? Les soldats, appelés Poilus, creusent des tranchées pour se protéger des tirs ennemis. Ils doivent lutter contre le froid, la faim et les maladies. Il n’y a pas d’hygiène: ils vivent dans la boue avec les poux et les rats. La solidarité entre les soldats
Par Gérard Héraud Publié le 14 Nov 14 à 1006 Dans les tranchées, le temps s’étirait, les Poilusont appris à utiliser les douilles, éclats d’obus, balles, lames, fusées, cartouches… Sous leurs mains ces objets, qui ont donné la mort, reprennent vie, amenant avec eux leur lot d’espoir. Entre les bombardements, les combattants se précipitaient dans les trous d’obus, pour récupérer les matériaux. L’aluminium, par exemple, est fondu de façon artisanale dans une cuillère ou une calotte d’acier, sur un feu de bois. Que fabriquaient-ils ? Des objets utilitaires, Ces objets sont en partie nés de la pénurie liée à la guerre briquets, porte-crayons, coupe-papier, cure-pipe, briquets… Le tabac est indispensable au moral des troupes, un briquet est alors très pratique tout comme le coupe-papier pour la correspondance. Certains objets étaient destinés à l’arrière pour montrer leur attachement à la famille, leur fiancée ou leurs amis. Beaucoup de soldats envoyaient des bijoux mais aussi des bibelots des tranchées comme les coquetier, les jouets… Les objets réalisés et ciselés par les combattants sont des représentations du patriotisme, du besoin de protection, de la foi, du désir féminin prénoms féminins, trèfle, chiffre 13, crucifix, angelots…. Olivier Desvignes, employé à la communauté de communes, collectionne les objets d’art des tranchées, Je suis passionné par ces objets que mes deux arrières-grand-pères m’ont laissés. J’ai eu la chance de les avoir connus, il m’ont raconté la vie dans les tranchées, l’un était dans un régiment de zouaves, l’autre a combattu à Verdun, il a reçut un éclat d’obus à la cuisse et a été gazé.» Il fait toutes les brocantes et vide-grenier à la recherche de la pièce manquante à sa fabuleuse collection. Olivier prête certaines pièces pour les expositions locales, à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, ainsi vous pourrez admirer sa collection à l’exposition de la mairie de Talmont-Saint-Hilaire et celle de article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Journal des Sables dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.OlivierDesvignes collectionne les objets réalisés par les Poilus. Par Gérard Héraud Publié le 14 Nov 14 à 10:06. Dans les tranchées, le
Soigneusement reconstitués à partir d'originaux ou de photos, ces drôles d'instruments bricolés, nés de l'horreur de la Première Guerre mondiale, seront à l'honneur lors d'un concert ce vendredi à la Cité de la musique à Paris, dans le cadre des célébrations du centenaire de la Guerre de 14-18. En première ligne, dans les tranchées, il n'y avait évidemment pas de place pour la musique mais seulement pour "une vie d'insomnie, de peur, le brouhaha et les explosions", rappelle à l'AFP le comédien Olivier Hussenet, l'un des chanteurs de ce spectacle. A l'arrière, en revanche, dans les zones de repos organisées à quelques kilomètres des tranchées, les "Poilus" cherchent tous les moyens d'oublier l'angoisse et l'ennui. Quand certains jouent aux cartes, sculptent ou fabriquent des bijoux, les plus mélomanes se fabriquent des instruments avec ce qu'ils ont sous la main pour tenter de divertir leurs camarades d'infortune. "La musique, c'est un objet de résistance incroyable. Pendant toutes les guerres, les musiciens, qu'ils soient professionnels ou amateurs, ont besoin de jouer", rappelle Serge Hureau, directeur du Centre national du patrimoine de la chanson, Le Hall, qui accueillera aussi le concert 22-23 novembre. Parmi ces instruments bricolés, il y a cette petite guitare-mandoline fabriquée à partir d'un casque de poilu endommagé, doté d'un manche sculpté dans une branche et de cordes en fil de fer qu'on accorde en tournant des petites chevilles fabriquées à partir de balles. Il y aussi ce violon conçu à partir d'une vieille gourde en métal avec une boîte de sardines en guise de mentonnière. Des instruments très 'jouables' "Un instrument très connu est le +Poilu+, un violoncelle fabriqué par un soldat nommé Maurice Maréchal, un très bon violoncelliste qui après l'Armistice, a fait une tournée parce que tout le monde voulait voir ce violoncelle des tranchées", ajoute Olivier Hussenet. Cet instrument historique, taillé dans une caisse de munitions, est désormais exposé à la Cité de la musique. C'est une réplique exacte, oeuvre de la violoncelliste Emmanuelle Bertrand, qui sera utilisée lors des concerts parisiens. "Ces instruments sonnent évidemment moins bien que des instruments normalisés mais lors des répétitions, on a été surpris de voir que ça sonnait finalement moins bizarrement que ce qu'on aurait pu croire au début", explique le chanteur. "Ce qui est très étonnant, c'est que ces instruments ont un son bizarre mais on arrive tout à fait à en jouer et même à jouer des arrangement hypersophistiqués", renchérit Serge Hureau, pour qui ces instruments bricolés se rapprochent de ceux qui peuvent être utilisés dans la musique africaine. Lors des concerts, le public pourra aussi entendre des percussions issues d'un "clavier de bouteilles", de gourdes de métal et d'un tambour de l'époque, comme celles utilisées par les soldats-musiciens pour tenter, encore et toujours, de couvrir le fracas de la guerre. Cette musique accompagnera des chansons écrites entre 1913 et 1918, signées à la fois par des artistes professionnels du music-hall, comme Vincent Scotto, mais aussi par des amateurs, des soldats sur le front, qui décrivaient leur haine de l'ennemi et leur angoisse sur des mélodies existantes. Sont ainsi au programme une trentaine de chansons de cent ans d'âge, dont quelques "tubes" de l'époque comme "Quand Madelon...", mis au goût du jour par des arrangements modernes afin, précise Olivier Hussenet, "que des oreilles d'aujourd'hui écoutent sans effort supplémentaire un répertoire quand même assez daté en termes de paroles et de mélodies". AFP Relax News
Quoiqu’il en soit, les « poilus » vont fabriquer une quantité d’objets dans des matières très diverses trouvées sur place. Le métal et le bois seront les matériaux de prédilection (Cuivre et laiton, aluminium, fer, provenant des projectiles, de l’équipement individuel, ils utiliseront aussi, tissus, papier, cuir et végétaux, mie de pain, A B
AccueilCultureMusique En partenariat avec Qobuz, plateforme musicale haute qualité Publié le 17/11/2014 à 1312, Mis à jour le 17/11/2014 à 1313 Boîtes de conserve en guise de percussions, bouteilles transformées en xylophones... sont les instruments que maniaient les soldats pour supporter l'abomination de la Grande Guerre. Le Hall de la chanson, à Paris, leur rend hommage. Un concert qui sonne comme un voyage dans le temps. Dans le cadre du centenaire de la guerre de 14-18, le Hall de la chanson Centre national du patrimoine de la chanson à deux pas de la Cité de la musique à Paris propose, les 22 et 23 novembre, le spectacle Concert poilu. Violoncelles fabriqués avec des caisses à munitions, casque transformé en guitare, une gourde de métal en Banjo... tels sont les étranges instruments de fortune réalisés dans les tranchées par des soldats tétanisés par la peur, qui accompagnent les chanteurs.La particularité du spectacle Concert poilu» explique Serge Hureau, le metteur en scène, est qu'on a reconstitué nous-mêmes les instruments que les poilus fabriquaient dans les tranchées. Vous avez, entre autres, une guitare dans un casque, une contrebasse, un violon et une deuxième guitare créés dans des boîtes d'emballage d'obus».L'instrument phare de cette collection hétéroclite, est le Poilu», un violoncelle fabriqué dans le bois d'une caisse à munitions par un soldat nommé Maurice Maréchal. Un objet historique conservé au Musée de la musique et dont la violoncelliste Emmanuelle Bertrand fit réaliser une réplique qu'elle a prêté pour les Maréchal avec son violoncelle. Musée de la MusiqueTout un arsenal musical bricolé, donc, qui accompagne des chansons écrites entre 1913 et 1918 jamais enregistrées pour certaines. À la fois par des compositeurs professionnels, à l'instar de Vincent Scotto, et des soldats amateurs sur le front, qui sur des airs existants extériorisaient, avec leurs propres mots, la peur omniprésente de mourir ou le manque rendre audible aujourd'hui ce mélange fait de bric et de broc, des arrangements ont été évidemment nécessaires Le son de ces instruments d'infortune est assez bon mais aléatoire» poursuit Serge Hureau, alors on les mêle à des instruments plus classiques et traditionnels. Pour les chansons, elles sont arrangées par quatre musiciens, qui ont gardé les mélodies». Ce sont de jeunes instrumentistes, élèves du Conservatoire de Paris qui s'attellent à l'interprétation chant, deux interprètes, Olivier Hussenet et un jeune homme encore au conservatoire supérieur d'art dramatique, Yannick Morzelle remettent ainsi au goût du jour une trentaine de chansons, parmi lesquelles la fameuse Quand Madelon...Concert poilu sur instruments d'infortune au Hall de la chanson, Pavillon du Charolais, 211, av. Jean-Jaurès XIXe. Tél. 01 53 72 43 00.
FoundAndFlogged (1 354) 75,00 € Livraison GRATUITE. Art des tranchées. Art des tranchées WW1. Art populaire de l’armée. Souvenirs de l’armée. Souvenirs militaires. Vase
Forum Futura-Sciences les forums de la science TERRE Archéologie Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 6 sur 6 26/03/2012, 05h20 1 QuarkCharm Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. - Bonjour à tous Je viens demander l'aide de "spécialistes" des objets en laiton fabriqués pendant la guerre, dans les tranchés. Un antiquaire près de chez moi vend une espèce de gobelet en laiton, pas plus grand qu'un pouce d'homme et d'un diamètre juste un peu plus large qu'une pièce de 2€. Il y a en dessous de ce gobelet un poinçon une petite croix gammée d'environ 5mm. J'en déduirai à première vue qu'il s'agit d'un objet en laiton singulier, fabriqué par un poilu allemand entre 1939 et 1945. Mais j'habite maintenant à Montréal, au Canada. Alors un petit doute s'installe cet objet se trouve bien loin de son lieu de fabrication, et puis pourquoi ne pas poinçonner un petit gobelet en laiton de la croix gammé pour lui donner simplement plus de valeur ? Cela pourrai très bien etre un faux... Toute ma gratitude ira vers celui qui pourra m' quelles questions pourrai-je poser à l'antiquaire pour plus de confirmations ? - 26/03/2012, 07h38 2 Re Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. Hello! Les douilles de munition décorées sont principalement l’œuvre de poilus de la première guerre mondiale. Elles étaient effectivement décorées dans les tranchées, des deux cotés du front. La seconde guerre mondiale étant une guerre de mouvement, je doute que cette "industrie" ai pu avoir lieu, du moins à la même échelle. De plus, le diamètre que tu nous donnes environ 25 mm correspond à un calibre d'arme non utilisée par l'infanterie 20 ou 30 mm. Ces munitions étaient tirées par des armes embarquées char ou avion. Je n'ai pas trouvé trace de croix gammée gravée d'origine sur le culot d'une douille allemande. Veuillez contacter l'administrateur si votre date de naissance a changé Futura Sciences 26/03/2012, 10h14 3 Re Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. Bonjour Quark, En tant qu'artiste contemporain, je m'intéresse au sujet, j'ai fait un papier là dessus en 2008 pour des expos de commémorations des 90 ans 1914-1918 en 2008. tu entres tu fait numéro 36 page 197. Art naïf, art populaire de recyclage issu de la grande guerre. 26/03/2012, 11h31 4 Re Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. Envoyé par archeos Hello! Les douilles de munition décorées sont principalement l’œuvre de poilus de la première guerre mondiale. Elles étaient effectivement décorées dans les tranchées, des deux cotés du front. La seconde guerre mondiale étant une guerre de mouvement, je doute que cette "industrie" ai pu avoir lieu, du moins à la même échelle. De plus, le diamètre que tu nous donnes environ 25 mm correspond à un calibre d'arme non utilisée par l'infanterie 20 ou 30 mm. Ces munitions étaient tirées par des armes embarquées char ou avion. Je n'ai pas trouvé trace de croix gammée gravée d'origine sur le culot d'une douille allemande. Cela pourrait être l'oeuvre d'un prisonnier de guerre, que se soit Allié ou Axe. Par contre en effet on est plus en présence d'une culasse de munition qu'un gobelet. Le poinçonnage d'origine n'est pas impossible mais en effet cela peut être un faux également. Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 26/03/2012, 12h54 5 toane1 Re Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. Bonjour, Concernant la svastika croix gammée, il peut ne s'agir que d'un rappel du motif utilisé par la célèbre marque de bière Carlsberg au cours de la première guerre mondiale de nombreuse image l'illustre sur internet. L'Archéologie de la grande guerre, d'Yves Desfossés , Alain Jacques et Gilles Prilaux éd. OuestFrance présente une médaille produite à partir à partir d'éléments de la sorte. 26/03/2012, 16h17 6 QuarkCharm Re Demande d'aide pour identification d'un objet en laiton. Bonjour à tous Tout d'abord, mes sincères remerciements à tous pour ces gracieuses informations, j'en apprends beaucoup Quand je parle d'un "gobelet" en laiton, c'est bien évidemment une douille ou un morceau de douille d'obus ou de je ne sais quoi qui ressemble ou aurait été transformé en une sorte de gobelet. Donc le doute qu'il soit faux persiste... Je vais tenter de prendre une ou deux photos de l'objet dans la journée. Je les posterai ici. Encore merci pour ces indications et à bientôt. Sur le même sujet Discussions similaires Réponses 15 Dernier message 31/10/2010, 19h37 Réponses 55 Dernier message 20/05/2010, 12h30 Réponses 4 Dernier message 08/11/2009, 12h28 Réponses 5 Dernier message 08/05/2007, 19h22 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 04h25.
Chance d'ailleurs, n'est peut-être pas le mot : il y en a si peu dans ces vies de poilus retracées au travers des objets qu'ils ont fignolés
403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID J-8_nZ7ucx3JdPfFCq4jHrCTLHFg1WM0GuDaFDESMWSR9tcRWzmKqA==LeMusée du poilu à Sivignon leur rend hommage et s’est fixé pour mission de faire découvrir la Première Guerre Mondiale à travers l’artisanat des tranchées. Ainsi, une collection unique de 1000 objets fabriqués par les soldats permettent d’aborder sous un angle humain et artistique le quotidien des Poilus.
403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 7W1-GaLLEAbnOuvQ8rC7-1mSUdnJrWYm0hrBK1QQr7aeMn-5GBlydQ==